31/08/2010

Campagne pour le Dauphinat,

 

Dans le cadre de la Campagne pour le Dauphinat,

Orrick Rambaud Martel

accueillera le 23 septembre prochain à 19h30 3 binômes de candidats au bâtonnat / vice bâtonnat :

Brigitte Longuet et Hervé Chémouli
Pierre-Olivier Sur et Catherine Paley-Vincent
Christiane Feral-Schuhl et Yvon Martinet

Ce débat sera animé par :
Monsieur Pascal Clément, député et ancien Garde des Sceaux.

Nous serons heureux de vous retrouver à cette occasion.

Catherine Saint Geniest/Pascal Agboyibor

Orrick Rambaud Martel
31, avenue Pierre 1er de Serbie
75016 Paris
Tel: 01 53 53 75 00

RSVP avant le 20 septembre 2010 à nbernard@orrick.com

 

 

16:52 | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

Ou va-t-on ?

AVEUGLE.jpgOu va-t-on ?

 

Vous êtes de plus en plus nombreux à lire ce blog d’avocat de base et le titre que je vous propose  marque une interrogation que nous sommes nombreux à nous poser

 

Nous savons par notre expérience d’avocat nous défier de la provocation, de la désinformation  en clair nous savons faire la part des choses même si nous savons aussi  "faire semblant"  tout en regardant la vérité en face et notre conservatisme du moins pour notre profession est fondé sur le vieux dicton un tiens vaut mieux que deux tu l’auras

 

Mais  pour la première fois un diffèrent d’importance  s’est installé entre  nos chefs des banques centrales dont l’influence  est inversement proportionnel à leur représentation   démocratique

 

Vous avez été plusieurs à informer de ce nouveau défi que je vous livre dans un article du Temps de Genève , qui ne subit pas l'autocensure  ou l'exagération de notre presse nationale.

 

Fissures dans l’unité des autorités monétaires

Les banquiers centraux se déchirent sur les mesures à prendre

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07:23 Publié dans La fonction d'avocat | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : fissures dans l’unité des autorités monétaires |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

30/08/2010

Patricia Savin et Yvon Martinet nous proposent ..

solutions.jpg Patricia Savin et Yvon Martinet,

co-responsables de la Commission Environnement

et Développement Durable

de l’Ordre des avocats de Paris

nous proposent

 

 

Solutions locales

pour un désordre global

extrait  cliquer

 

Le film de Coline Serreau  nous invite à découvrir de nouveaux systèmes de production agricole,  des pratiques qui fonctionnent, réparent les dégâts et proposent une vie et une santé améliorées  en garantissant une sécurité alimentaire pérenne.

Le film se déroule en une série d’entretiens d’une incroyable concordance  qui prouve un autre possible : une réponse concrète aux défis écologiques et plus largement à la crise de civilisation que nous traversons.

 

Mardi  21 septembre19 heures

Maison du Barreau 2 rue de Harlay  75001 Paris

Réservation obligatoire

par mail à : commissions.ouvertes@avocatparis.org ou par fax 01 44 32 49 93

 

17:09 Publié dans La fonction d'avocat | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : patricia savin et yvon martinet |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

29/08/2010

QPC sur garde à vue : les DEUX décisions

rediffusion avec mise à jour

conseil constitutionnel.gifLes tribunes sur la garde à vue

 

DROIT COMPARE

 

 

Le Conseil constitutionnel s'est penché, mardi 20 juillet, sur la conformité à la Constitution de la garde à vue française.

Il a rendu un arrêt mais deux  décisions le 30 juillet 2010 

 

 

Le Conseil constitutionnel juge

 

A ) inconstitutionnelles les gardes à vue de droit commun

mais

B )constitutionnelles les gardes à vue de droit "non commun"

cliquer 

 

UN ARRET MAIS DEUX DECISIONS

 

Le communiqué de presse

 

Note de P Michaud

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27/08/2010

UE Consultation publique sur les regles de successions

tva2.jpg Consultation publique

Sur les approches possibles pour lever les obstacles en matière de droits de succession transfrontaliers au sein de l’UE.

 

 

 

Les successions en Europe

 

Le site de la consultation

 

 

Study t on inheritance taxes in EU member states and

possible mechanisms to resolve problems of double inheritance taxation in the EU

 

 

 

A survey of some of the domestic rules on taxes levied upon death

in the 27 Member States.

 

The survey is limited to taxes that are levied exclusively in event of death implying that taxes levied both upon death and under other circumstances are not covered by the survey. 

Il apparaît que les problèmes en matière de droits de succession transfrontaliers suscitent des inquiétudes croissantes chez les citoyens de l’UE 

Il est possible que les règles en matière de droits de succession des États membres de l’UE telles qu’appliquées dans les situations transfrontalières empêchent les citoyens de l’UE de bénéficier pleinement de leur droit de circuler et de travailler librement par-delà les frontières au sein du marché intérieur.

Ces règles peuvent également créer des difficultés pour la transmission des petites entreprises lors du décès des propriétaires.

 

La Commission travaille actuellement sur plusieurs fronts afin de rassembler plus d’éléments quant à l’ampleur du phénomène au sein de l’UE et de trouver des solutions aux problèmes recensés.

La Commission lance la présente consultation publique dans le but de recueillir les opinions de l’ensemble des parties intéressées et des particuliers sur l’ampleur du problème ainsi que sur les solutions envisageables

.

  •  
  • service responsable

    Direction générale de la fiscalité et de l'union douanière
    Unité D2 "Politique et coopération en matière de fiscalité directe"

    courrier électronique

    TAXUD-D2-Consultation@ec.europa.eu

    adresse postale

    Commission européenne
    Direction générale de la fiscalité et de l'union douanière
    Unité D2 "Politique et coopération en matière de fiscalité directe"Rue de Spa 3
    B-1049 Bruxelles

     

13:30 Publié dans Des propositions de développement | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

26/08/2010

Les tribunes de Juilet 2010

LE CERCLE MAISON FIANL.jpg

Historique des tribunes

Les tribunes 

du Cercle du Barreau

de Juillet  2010

07:57 Publié dans a-historique des tribunes | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

25/08/2010

Les penseurs du CODE CIVIL

LES PENSEURS DU CODE CIVIL.jpg

Les penseurs du Code civil

Coll. Histoire de la Justice 19

CLAUDE GAUVARD

Association française pour l'histoire de la justice

Histoire de la justice

 

 

 

 

Le bicentenaire du Code Civil

 

 

Le site de la chancellerie

 

 

 

Une approche historique et juridique sur la genèse du Code civil

Le Code civil est issu d'une rupture, celle de 1789. Son contenu est le fruit de travaux préparatoires où, de Cambacérès à Portalis, se sont illustrés de grands serviteurs de l'État, tandis que Napoléon en a stimulé l'achèvement.

Le Code s'inspire aussi de la politique législative et judiciaire du XVIIIe siècle, dont d'Aguesseau, avocat général puis chancelier de Louis XV, a été le promoteur.


Mais la cohérence du Code relève d'apports plus subtils : elle est le fruit d'une culture juridique, celle de penseurs dont la formation et la pratique s'enracinent dans une tradition multiséculaire où l'art oratoire se mêle à la scolastique médiévale. En mettant l'accent sur la pensée juridique qui sous-tend la réalisation du Code, ce livre prétend donc éclairer comment, et parfois de façon contradictoire, se sont noués les fils qui unissent les dispositions de l'ancien droit et celles du nouveau droit codifié.

06:00 Publié dans NOTRE HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

20/08/2010

Bicentenaire du code pénal

code penal 1810.jpgCode pénal et code d'instruction criminelle :

Livre du bicentenaire cliquer

 

Au nom de l'ordre : une histoire politique du code pénal

 

La peine de mort en France de la Révolution à l'abolition

Code pénal de 1810

Le code pénal de 1791

Le code des délits et des peines de l'an IV

LE TRAITE DES  DELITS ET DES PEINES en version originale cliquer

 

 Analyse par Gilles Baudouin,
Direction des collections, Département Droit économie politique BNF

 

En 2010, nous célébrons le bicentenaire du Code pénal, publié le 12 février 1810 et entré en vigueur le 1er janvier 1811. Dernier des cinq grands codes napoléoniens, il constitue encore de nos jours une source majeure du droit pénal français, même s’il a été profondément refondu en 1992 pour tenir compte des formes modernes de délinquance criminelle.

Outre une édition originale de 1810 détenue à la Réserve des livres rares, la BnF possède plusieurs éditions conformes

A la Révolution, en 1791, se met en place une première législation codifiée qui tranche avec l’arbitraire de la justice royale et les abus de l’Ancien Régime. Tout en gardant certains principes révolutionnaires, la codification impériale de 1810 se propose d’assurer l’unité et la pérennité de l’Empire par un retour partiel aux institutions autoritaires de l’absolutisme : ce texte de référence unique, qui permet aux citoyens d’avoir une connaissance aussi précise que possible de ce qui est prohibé, concrétise ainsi une maxime du juriste Jean Etienne Portalis, l’un des principaux rédacteurs du code civil de 1804, affirmant qu’il ne saurait y avoir de crimes ou de délits sans qu’ils soient, d’une part, précisément définis et regroupés dans un seul texte, et d’autre part, sans qu’y soient associées les sanctions applicables : « nullum crimen sine lege, nulla poena sine lege » (pas de crime sans loi, pas de peine sans loi précédente).

Le principe de légalité criminelle réduit considérablement la part interprétative du juge, dont la fonction est désormais, dans la grande majorité des cas, purement distributive : à tel délit, telle peine prononcée : la qualification d’un acte laissée aux soins de juges professionnels devient une opération technique, voire mécanique : en témoigne cette page du code pénal militaire avec nomenclature alphabétique des délits et des peines requises

En particulier, le juge ne dispose d’aucune marge de manœuvre pour les infractions graves punies de mort ou des travaux forcés à perpétuité

Tandis que la définition des incriminations se fait plus précise avec ce qu’on appelle la tripartition (crimes, délits, contraventions), le législateur abandonne le système révolutionnaire de la fixité des peines pour une modulation du châtiment, entre un minimum et un maximum laissé à l’appréciation du juge, du moins pour les délits mineurs.

Mais le Code de 1810 reste très sévère pour les infractions classées comme crimes, avec un recours abondant à la peine capitale et au « spectacle pénal » la perpétuité de certaines peines et les supplices corporels.

Si le Code pénal de 1810 reflète l’expression de la volonté même de l’Empereur, néanmoins le processus de codification au XIXe siècle répond à une aspiration profonde dans l’opinion publique d’unification et de simplification du droit dans un but de sécurité juridique : tout en prônant une doctrine fondée sur l’intimidation des criminels, le Code met en oeuvre la garantie des droits individuels assurés par la légalité.

 

Gilles Baudouin, Direction des collections, Département Droit économie politique

 

17:32 Publié dans NOTRE HISTOIRE | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : bicentenaire du code pénal |  Facebook | | | Pin it! |  Imprimer | | |

17/08/2010

COLLABORATION : vers du nouveau

avocat.jpg 

Le conseil de l’ordre de Paris a fin juillet 2010 entendu le rapport de nos confrères Pierre Servan Schreiber et Avi Biton sur le contrat de collaboration

 

Ce débat essentiel pour le développement de notre profession a permis un échange démocratique et libre et permet de faire avancer la réflexion commune

 

Nous avons proposé une réflexion sur 

 

Un statut de la "collaboration participative"

 

 

Cette réflexion n’ayant  pas été encore acceptée, nous continuerons à la proposer  et ce notamment pour éviter de créer un statut de type « cadre sup émasculé » comme je l’ai dit  à mes collègues  

 

l'idée serait de fortement inciter au développement de la participation en industrie  pour les collaborateurs libéraux d'une certaine ancienneté dans TOUTES les structures d'exercice  mais en gommant les aspérités légales de cette pratique .

 

Cette réforme pourrait etre completée  par  une assurance  de perte d'activité -volontaire ou obligatoire -comme nos contrères Normand Bodard et Tournois l' avaient déja proposée  en 2006, proposition qui a été fortement améliorée par PO SUR et qui fera l'objet d'une étude complémentaire par la commission Pierre Servan Schreiber et Avi Biton

 

Je rappelle qu'un tel systeme existe déjà pour les artisans et commercants

 

Cette proposition permetrait au collaborateur de rester un entrepreneur libéral tout en  participant au développement économique de "son" cabinet

 

Je pense en effet que le principe du contrat de collaboration libérale doit rester le fait que

 

Le collaborateur libéral est d'abord

un entrepreneur libéral

 

Dans un premier temps, le cercle du barreau vous livre des éléments de réflexion politique et juridique.

 

Une analyse  prospective

 

COLLABORATION LIBÉRALE : Revenir aux fondamentaux

par Dominique PIAU président de l'UJA de Paris  (gaz pal 27 juillet 2010) 

 

 

Fragilisée pour les uns, vouée à la disparition pour les autres, la collaboration libérale est victime de son succès ou plus précisément de l’usage qui en est fait. La collaboration libérale est par nature un espace de liberté, liberté dans l’organisation matérielle et temporelle de ses conditions de travail, liberté dans le choix de ses régimes de protection, et non de contrainte ou d’encadrement.

 

Fruit de la longue histoire des relations, parfois tumultueuses, des jeunes avocats avec leurs « patrons », la collaboration libérale, concept né dans la profession d’avocat pour répondre à une nécessité économique(1) puis étendue à l’ensemble des professions libérales par la loi PME n° 2005-882 du 2 août 2005, apparaît aujourd’hui comme étant à la croisée de son histoire.

(1) G. Bonduelle « le Statut de la collaboration » : Bulletin de l’UJA de Paris 1934/1937. p.67

 

 

Une  analyse de décideur

 

De la précarité économique avec le Bâtonnier P DUPRAT

 

Vers une nouvelle vision économique sur le contrat de collaboration

 

La crise entraine des nombreuses  résiliations de contrat  de collaborations et les problèmes de requalification et dans certaines rares situations de constatation pénale de travail irrégulier se posent de plus  en plus fréquemment.  

 

 

Une analyse juridique  

 

 SALARIAT VERSUS NON SALARIAT ; UN POINT DE DROIT 

 

 par Pascal ALIX   Avocat au Barreau de Paris

Article publié dans NetPME

 

La présomption de non-salariat a fait l'objet d'une évolution législative depuis son instauration en 1994. Les lois se sont succédées en sa faveur ou au contraire en vue de sa suppression.

A ce jour, la présomption est de nouveau prévue par le code du travail et le lien de subordination juridique demeure le critère de distinction entre un travailleur indépendant et un travailleur salarié. 

 

 

 

13/08/2010

le secret partagé est il un secret .?!

rediffusion

les trois singes.jpgLes tribunes du Cercle sur le  secret

 

pour imprimer cliquer

 

 

 

NOUVEAU  

Le secret de l'avocat avec son client est il

leve par la presence d'un expert comptable ?

 

     Cour de cassation 14 janvier 2010 N° de pourvoi: 08-21854

 

  LIRE IN FINE  4) Le secret de l’avocat peut il être partagé avec un tiers ? 

 

1) Le secret  de l’avocat est absolu

 

L'obligation au secret professionnel, établie par l'article 66-V de la loi de 1971 ,qui est  sanctionnée par l'article 226-13 du Code pénal, pour assurer la confiance nécessaire à l'exercice de certaines professions ou de certaines fonctions, s'impose à l'avocat, hormis les cas où la loi en dispose autrement comme un devoir de son état et que sous cette réserve, elle est générale et absolue, de sorte que l'avocat ne peut en être délié par son client.

 

Article 2 du Réglement intérieur harmonisé

 

 

  Cour de Cassation, Chambre civile 1, du 6 avril 2004, 00-19.245, Inédit

 

 

2) qu’en est il du client ?

 

Mais la confidentialité des correspondances échangées entre l'avocat et son client ne s'impose qu'au premier et non au second qui, n'étant pas tenu au secret professionnel, peut les rendre publiques ;

 

C.Cassation, Ch. civ 1, du 4 avril 2006, 04-20.735, Publié au bulletin

 

Cour de cassation, civile, Ch civ. 1, 30 avril 2009, 08-13.596, Inédit

 

3) Les situations classiques dans lesquelles le secret est levé

 

Les situations de mainlevée du secret

 

 

Dans le cas de fait notoire !

 

    Cour de Cassation, Chambre civile 2, du 5 juillet 2006, 03-17.972, Inédit

 

 

 

 

 4) NOUVEAU Le secret de l’avocat peut il être partagé avec un tiers ?

 

Le secret violé par le livre des procédures fiscales

 

Mme G.Augendre sur "le secret partagé 

 

NOUVEAU     Cour de cassation 14 janvier 2010 N° de pourvoi: 08-21854

 

 L'analyse de l'arrêt

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