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Du Vigouroux:sur le sens de la République

 

deontologiz.jpgGeorges Picquart, dreyfusard, proscrit, ministre (éd. Dalloz).

Christian Vigouroux

 

Georges Picquart (1854-1914) est le chef du service secret militaire français pendant l'affaire Dreyfus. Il est celui qui va apporter la preuve matérielle de l'innocence d'Alfred Dreyfus en 1896 (le petit bleu) et identifier la culpabilité d'Estherazy. En refusant d'ignorer la vérité des faits contre toutes les pressions, en refusant de se taire et de se terrer, le colonel Picquart fait le choix de la vérité et de l'exactitude contre celui d'une brillante carrière.
En retour, il sera lourdement condamné par l'Etat-major, banni de l'armée pendant 10 ans et emprisonné. Son indépendance d'esprit, sa droiture et son opposition farouche à son milieu incarnent, avant l'heure, ce qu'on appelle désormais, le devoir de désobéissance. Ce livre est une biographie qui trace le portrait d'un personnage central de l'affaire Dreyfus et témoigne de la personnalité exceptionnelle d'un homme en résistance avec son milieu.

Le dossier secret de l'affaire Dreyfus n'avait jamais été publié dans son intégralité. La mise en ligne sur ce site est donc une première.  Véritable fil rouge de ce feuilleton militaro-judiciaire, cet ensemble documentaire a pourtant été le principal objet accusatoire utilisé à l’encontre d'Alfred Dreyfus, dans le cadre des procès militaires et civils, publics ou à huis clos. C'est donc un document historique de première importance que le Service historique de la défense rend accessible au public et aux chercheurs. 

http://www.affairedreyfus.com/


"Déontologie des fonctions publiques",

Christian Vigouroux

La déontologie n'est pas innée. Elle ne s'improvise pas. Même si Philippe le Bel avait déjà tout prévu dans son ordonnance du 23 mars 1303, les méconnaissances de la déontologie semblent aujourd'hui toujours nombreuses et plus rapidement connues. Parallèlement, les exigences du citoyen, électeur, usager, contribuable, syndicaliste, éventuellement requérant, sont toujours plus élevées. Des attentes nouvelles apparaissent, notamment sur les thèmes de la sécurité, la laïcité, la diversité, l'efficacité des politiques de l'emploi, des déclarations de conflits d'intérêts, des rapports avec la presse, du secret des fichiers administratifs et de la vie privée ou encore de la responsabilité pour délits non intentionnels. La France se dote progressivement, secteur par secteur, de documents de référence guide, charte, recueil, et souvent d'instances d conseil, d'interprétation ou de médiation.

Tel est l'enjeu : faire que le chargé des fonctions publiques, élu, fonctionnaire, magistrat ou militaire soit un "homme d'Etat" par ses "vertus et ses talents".

 A partir de l'analyse des textes et d'une jurisprudence abondante, l'auteur explore une déontologie qui n'est ni l'éthique ni la morale mais l'énoncé et la mise en pratique des devoirs du chargé de missions publiques dans les situations concrètes, en vue du bon exercice des fonctions. Une déontologie, conçue pour faire l'économie du recours à la discipline ou au pénal, qui s'appuie à la fois sur la norme juridique, l'orientation hiérarchique et sur les références professionnelles ou associatives librement consenties.

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20/03/2013 | Lien permanent

le lanceur d alerte fiscale : vers un fort développement

lanceur d alerte.jpg « La dénonciation veut nuire,
le signalement veut sauver ».[i]
Christian  Vigouroux 
 cliquez

La délation put elle être civique ?
par Me Henri Leclerc

Notre civilisation de grande liberté individuelle entre dans celle d’une société sous  surveillance généralisée, surveillance  effectuée tant par de nombreuses  administrations que par des professionnels anciennement dits de confiance  et maintenant  par vos collaborateurs et associés et ce dans tous les secteurs avec un mot d’ordre : l’intérêt général dépasse la liberté individuelle

 Lanceur d'alerte fiscale: Vers un fort développement ?pdf 

Quand nos politiques vont-ils nommer la ministre de la transparence comme l’avait imaginé JD Bredin en 1997? 

Je suis la transparence, cette nouvelle vertu  par JD Bredin 

Le gouvernement va  déposer à l’automne un projet de loi sur l’éthique  et la transparence en matière financière

Ce projet aura notamment pour objectif d’améliorer le statut ,la protection et  la  reconnaissance, notamment vis-à-vis de l’opinion publique  des lanceurs d'alerte de projets d’infractions délictuelles ou criminelles notamment en matière financière et fiscale 

 

Dans d'autres démocraties cette reconnaissance rentre dans la protection du témoin .La question est de savoir ou placer le curseur entre la morale individuelle telle est écrite dans le Livre de Moise, source de nos trois religions, et la protection de l’intérêt général. Enfin ce délicat équilibre, non encore trouvé, devrait se rattacher à la jurisprudence de la CEDH et notamment l’arrêt du 6 décembre 2012..sur le secret partagé

 Lanceur d'alerte fiscale: Vers un fort développement ?pdf

cliquez

 Lanceur d'alerte fiscale: Vers un fort développement ? htlm

 

Les réflexions avancées de trois magistrats de la République

Jean Marc SAUVE

Lanceurs d’alerte : la sécurisation des canaux et des procédures

Une éthique en cours de réflexion??? 

« Le lanceur d’alerte n’est ni un dissident, « qui se poserait en opposant radical à la collectivité dont il fait partie », ni un partisan de la désobéissance civile, qui refuserait « de se plier à une règle ou un commandement légal dont il contesterait la légitimité » A la différence du premier, le lanceur d’alerte revendique sa loyauté à l’égard des institutions et, à la différence du second, 

il entend agir dans le cadre de la loi. Il importe ainsi, au premier chef, de définir  par le droit l’éthique du lanceur d’alerte. » Jean Marc SAUVE 

Christian VIGOUROUX

« La dénonciation veut nuire, le signalement veut sauver ».

C. Vigouroux, Déontologie des fonctions publiques, éd. Dalloz, 2éd., 2012, p. 487. 

Jean Louis NADAL

Rapport NADAL sur l’exemplarité des responsables publics,
 « Renouer la confiance publique ».
 

Quelles en seront les conséquences ????

A vous d'en réfléchir et juger

La surveillance généralisée des populations est européenne 

Germans are so scared of surveillance they microwave their ID cards (source the W post ) 

 le plan de la tribune

 

Un peu d’histoire

Dénonciation ou déclaration anonyme.. ???...

Le rejet  de la  dénonciation anonyme

La déclaration  anonyme admise sous conditions par la cour de cassation   L 16 B

L’utilisation des dénonciations anonymes par le fisc (RM MP Cleach )

 

L’évolution de l’image du lanceur d’alerte

Les réflexions du Président SAUVE

L’éthique du lanceur d’alerte saisie par le droit français.

La référence à la notion du secret partagé

 

Les différentes lois en vigueur sur  les signalements et secteurs protégés

Une  première décision de la cour de cassation  sur intervention d’un lanceur d’alertes

 

Les pratiques internationales

La question de la rémunération du lanceur

La pratique de l’IRS

En matière douanière

En matière de droit indirect

En matière de fiscalité directe et de TVA

 liques, éd. Dalloz, 2éd., 2012, p. 487. 

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25/08/2015 | Lien permanent

Une garde à vue peut elle être une voie de fait ?



dreyfus.jpg

La voie de fait est un acte  commis par un fonctionnaire manifestement contraire à nos principes actuels  de nos  libertés fondamentales

 

Une définition de la voie de fait

 

La décision du Tribunal des Conflits du 17 juin 2013, Bergoend, N° C3911  a précisé cette notion : "il n'y a voie de fait de la part de l'administration, justifiant, par exception au principe de séparation des autorités administratives et judiciaires, la compétence des juridictions de l'ordre judiciaire pour en ordonner la cessation ou la réparation, que dans la mesure où l'administration soit a procédé à l'exécution forcée, dans des conditions irrégulières, d'une décision, même régulière, portant atteinte à la liberté individuelle ou aboutissant à l'extinction d'un droit de propriété, soit a pris une décision qui a les mêmes effets d'atteinte à la liberté individuelle ou d'extinction d'un droit de propriété et qui est manifestement insusceptible d'être rattachée à un pouvoir appartenant à l'autorité administrative"

 La position de Me Repiquet

Une pratique contraire à la loi, à sa lettre et à son esprit.

 

Responsabilité de l état pour mauvais fonctionnement de la justice

 

Recueil des Obligations Déontologiques des Magistrats ... 

A. L’indépendance .B. L’impartialité .C. L’intégrité .D. La légalité .

E. L’attention à autrui .. F. Discrétion et réserve . 

Les 2 Projets de loi de Mme Taubira sur le  renforcement des obligations
déontologiques des magistrats de l'ordre judiciaire
 

Notre confrère et vieil ami Me Yves Repiquet nous livre une position voisine qui a notre avis permettrait d’engager une  forte réflexion sur  la responsabilité au moins de l état pour mauvais fonctionnement de la justice 

La position de Me Repiquet

Les dieux ont soif par Anatole FRANCE 

Georges Picquart, dreyfusard, proscrit, ministre par Christian Vigouroux

 

 Intervention de M. Yves Repiquet bâtonnier de l’Ordre des avocats de Paris à l’ouverture du colloque sur la proclamation de l’innocence d’Alfred Dreyfus 

A titre personnel ,j ai utilisé , dans la discrétion de mon serment cette procédure exceptionnelle en matière fiscale dans des situations rarissimes ou des ordonnateurs secondaires au sens du droit budgétaire avaient manifestement et volontairement refusé d’appliquer des règles de protection des contribuables  telles qu’elles avaient été votées par les lois Aicardi lois signées par notre confrère F  Mitterrand 

Attention aux réactions politiciennes de cette action de courage politique

 

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03/07/2014 | Lien permanent

La sanction : regards croisés du Conseil d'Etat et de la Cour de cassation

 

COUR DE CASSATION 1.jpg

CONSEIL ETAT.jpgColloque Organisé par

le Conseil d’État et la 
Cour de cassation

 

-         le vendredi 13 décembre 2013 à 9h00 

-         dans la Grand'chambre de la Cour de cassation

Ø      Invitation

 Les  tribunes EFI 

Article préliminaire du code de procédure pénale
 

I.-La procédure pénale doit être équitable et contradictoire et préserver l'équilibre des droits des parties.
Elle doit garantir la séparation des autorités chargées de l'action publique et des autorités de jugement.

Modulation des sanctions fiscales :
 un combat démocratique en cours cliquer

La modulation d'une sanction peut elle octroyée 
par le décideur de la sanction ???

Le comité du contentieux fiscal:les rapports cliquer

Pour s’inscrire, merci d’envoyer vos noms, fonctions et coordonnées
par courriel à l’adresse :

colloque.parquet.courdecassation@justice.fr


Un courrier de confirmation vous sera adressé

 

Programme:lire dessous

 

 

9h00 - 10h00 Séance d’ouverture

Vincent LAMANDA, Premier président de la Cour de cassation
Jean-Claude MARIN, Procureur général près la Cour de cassation
Jean-Marc SAUVÉ, Vice-président du Conseil d’Etat


10h00 - 11h30 Table ronde n°1


La sanction pénale et la sanction administrative – définitions,
contenu et finalités – : convergences et spécificités
Président
Jean-Marie DELARUE, Conseiller d’État, contrôleur général des lieux
de privation de liberté
Intervenants
Jacques PETIT, Professeur de droit à l’université de Paris II (Panthéon-Assas)
Jacques-Henri STAHL, Conseiller d’État, président de la 2ème sous-section de
la section du contentieux
Laurent LE MESLE, Premier avocat général de la chambre commerciale,
économique et financière de la Cour de cassation


11h30 - 13h00 Table ronde n°2


Les formes et le prononcé de la sanction : évolutions récentes (Qui
sanctionne ? Selon quelle procédure ? Quelle motivation ? Quelle
publicité ?)
Président
Gilles BACHELIER, Conseiller d’État, président de la cour administrative
d’appel de Nantes
Intervenants
Maud VIALETTES, Maître des requêtes au Conseil d’État, rapporteur public
Frédéric DESPORTES, Avocat général à la chambre criminelle de la Cour de
cassation
Geneviève GIUDICELLI-DELAGE, Professeur de droit à l’université de
Paris I (Panthéon-Sorbonne)


13h00 - 14h00 Pause déjeuner libre


14h00 - 14h15 Allocution d’ouverture de la séance de l’après-midi


Elisabeth BARADUC, Ancien président de l’Ordre, avocat au Conseil
d’État et à la Cour de cassation


14h15 - 15h45 Table ronde n°3


La sanction et les droits de la personne (Qui peut-être sanctionné ?
Les effets de la jurisprudence de la CEDH)
Président
Bertrand LOUVEL, Président de la chambre criminelle de la Cour de
Cassation
Intervenants
Mattias GUYOMAR, Conseiller d’État
Daniel GUTMANN, Avocat et professeur à l’université de Paris I
Patrick MOUNAUD, Délégué régional du CNRS en Midi-Pyrénées,
ancien directeur interrégional de l’administration pénitentiaire


15h45 - 17H15 Table ronde n°4


Les contrôles de la sanction par les juges : les principes cardinaux,
intensité du contrôle et redéfinition de la sanction par le juge
Président
Marie-France MAZARS, Doyen de la Cour de cassation honoraire
Intervenants
Béatrice BOURGEOIS-MACHUREAU, Maître des requêtes au Conseil
d’État, rapporteur public
Didier GUÉRIN, Conseiller à la chambre criminelle de la Cour de
cassation
Françoise TULKENS, Ancienne vice-présidente de la Cour européenne des
droits de l’homme, membre associée de l’Académie royale de Belgique


17H15 - 17h45 Séance de clôture: synthèse à deux voix des travaux de la journée


Christian VIGOUROUX, Président de la section du rapport et des études du
Conseil d’État
Didier BOCCON-GIBOD, Premier avocat général de la chambre criminelle
de la Cour de cassation

Pour s’inscrire, merci d’envoyer vos noms, fonctions et coordonnées
par courriel à l’adresse : colloque.parquet.courdecassation@justice.fr
Un courrier de confirmation vous sera adressé

 

 

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10/12/2013 | Lien permanent

C.CHARRIERE BOURNAZEL :LA TRIBUNE

511363dbfcc4f1fb9bda2ee03544ba4c.jpgChristian Charrière-Bournazel : " Nous travaillons sur l'idée de créer un acte d'avocat "

Dans un entretien accordé à "  La Tribune  ", le nouveau bâtonnier de Paris évoque les grands dossiers de la profession. Une réflexion est menée pour créer, à côté des actes authentiques, un acte d'avocat de même force exécutoire.

-

interview La Tribune - 31/01/08

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C.Feral Schuhl Le premier débat sur le RPVA

LIBERTE DE CONSCIENCE.jpg

Le cercle du barreau participe et vous fait participer à notre vie démocratique

chacune de nos équipes de candidats est la bienvenue sur ce blog

 

et ce pour assurer le maintien de la transcendance du Barreau de Paris 

 

 

 

Christiane Féral-Schuhl et Yvon  Martinet

nous invitent  à un débat sur le RPVA

le site de cette équipe

 

le 4 octobre de 8h30 à 9h45

Lérins avocats

64 rue la boétie - 75008 paris -6 ème étage 

 

Le premier débat DEMOCRATIQUE   sur le RPVA

 

LE SITE DU RPVA  cliquer

 

RPVA : "Priorité à la formation. Il faut que ça avance"   

 Jean-Christophe Guerrini 

 

 

Petit-déjeuner débat avec Christiane Féral-Schuhl

 

Enjeux et opportunités de la dématérialisation

dans les cabinets d'avocats et du RPVA

 

Nos Confrères Didier Chambeau et Laurent Julienne associés du Cabinet LEIRINS Avocats invitent les confrères du Barreau de Paris à un petit-déjeuner débat avec Christiane Féral-Schuhl

 

Le 4 octobre de 8h30 à 9h45

 

LERINS AVOCATS

 

64 rue La Boétie - 75008 PARIS -6 ème étage

sur le thème:

 

Enjeux et opportunités de la dématérialisation

dans les cabinets d'avocats et du RPVA

Enjeux :

- à compter de 2011, les déclarations d'appel et les constitutions devant la Cour d'appel devront être envoyées au Greffe, par voie de communication électronique, « à peine d'irrecevabilité relevée d'office ».

- s'agissant des autres actes de procédure, la communication électronique sera mise en oeuvre au plus tard en 2013

Opportunités :

- moderniser et accroître l'efficacité de nos cabinets

Christiane Féral-Schuhl, candidate au bâtonnat, expliquera en quoi cette évolution est majeure pour le barreau de Paris et comment, avec l'Ordre, elle accompagnera concrètement les cabinets à cet effet.

 

Merci de nous confirmer votre présence par un simple mail :

 

l.julienne@lerins-avocats.com

 

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23/09/2010 | Lien permanent

Campagne pour le Dauphinat,

 

Dans le cadre de la Campagne pour le Dauphinat,

Orrick Rambaud Martel

accueillera le 23 septembre prochain à 19h30 3 binômes de candidats au bâtonnat / vice bâtonnat :

Brigitte Longuet et Hervé Chémouli
Pierre-Olivier Sur et Catherine Paley-Vincent
Christiane Feral-Schuhl et Yvon Martinet

Ce débat sera animé par :
Monsieur Pascal Clément, député et ancien Garde des Sceaux.

Nous serons heureux de vous retrouver à cette occasion.

Catherine Saint Geniest/Pascal Agboyibor

Orrick Rambaud Martel
31, avenue Pierre 1er de Serbie
75016 Paris
Tel: 01 53 53 75 00

RSVP avant le 20 septembre 2010 à nbernard@orrick.com

 

 

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31/08/2010 | Lien permanent

Le Concours organisé par la Conférence Lysias

medium_lysias.jpg la Conférence Lysias  cliquer

Finale 2008
Mercredi 7 mai  à 19h15 dans la 1er Chambre de la Cour d'appel de Paris

Le jury de la finale cette année se compose

L'Avocat Général près la Cour d'appel de Paris, Philippe BILGER
Président du Jury

 

Monsieur le Bâtonnier Christian CHARRIERE-BOURNAZEL  
Bâtonnier de Paris

 

Monsieur le Bâtonnier Mario STASI

 

 Maître Kami HAERI (Ancien Secrétaire de la Conférence
Maître Augustin d'OLLONE ( Actuel 1er Secrétaire de la Conférence)
Maître Charlotte PLANTIN (Actuelle 12ième Secrétaire de la Conférence

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L’avocat:un commissaire au droit Une évolution pour la profession

 le commissaire au droitLes réflexions de Christiane Féral-Schuhl

Les citations de Mme le bâtonnier sont de Muriel Jasor, Les Echos CLIQUER

pour imprimer avec les liens cliquer

 

Lors de l’université d’été du MEDEF Christiane Féral-Schuhl a proposé une nouvelle activité

L’avocat ; un commissaire au droit

Cette idée, lancée par Francis Teitgen  et reprise avec énergie et passion  notamment par Elizabeth Cauly  et Elisabeth  Oster membres du conseil de l’ ordre, était très controversée car l’assimilation avec le commissaire aux comptes avec son obligation sanctionnée pénalement   de dénonciation des infractions au procureur de la république

Cette crainte légitime pour un avocat sera  elle prochainement abolie
grâce à la réflexion du Bâtonnier de PARIS

 

une forte mais lente évolution des esprits est en train de se développer  dans le cadre d’une  autre approche,celle  de la protection de l’entreprise ;l’avocat deviendrait le protecteur juridique indépendant de entreprise

Cette réflexion qui implique l''abrogation de la déclaration de soupçon se fait en dehors de Bruxelles enfermé pour l’instant dans  une analyse « one minded » de ses directives liberticides sous des emprises non continentales.....

Un début de solution verrait  t il  le jour vers décembre  ?  le cercle vous tiendra informé

Ce  début de  réflexion qui a été discrètement reprise dans une tribune du cercle serait d’ajouter un livre II  au traité de BECCARIA , chapitre qui pourrait être consacré à la prévention de la délinquance et non plus seulement à la recherche des infractions

Une autre politique pénale : Prévenir d'abord

Comme les travaux de réflexion de ce cercle ont volontairement été provocateurs, l’avocat deviendra alors un protecteur judiciaire et juridique

L’avocat ce protecteur judiciaire et juridique

Christiane Féral-Schuhl  poursuit en l'élargissant publiquement  et volontairement cette réflexion avancée dans les termes suivants

 « Les entreprises, dans l'ignorance légitime des nouveaux textes, ne respectent pas les normes de plus en plus nombreuses et de plus en plus complexes »

. « Or, il leur est plus coûteux de subir les conséquences, notamment pécuniaires, d'une violation le plus souvent inconsciente de la norme, que de faire intervenir en amont un ou plusieurs avocats afin de s'assurer de la conformité à la règle de droit », poursuit-elle.

Dans la vision du bâtonnier du barreau de Paris, l'avocat commissaire au droit travaillant pour une entreprise ne se contenterait pas d'une mission de contrôle. Il jouerait un rôle actif dans la détection, l'anticipation et l'évaluation des risques de l'entreprise.

 « Cette approche novatrice permettrait aux dirigeants, le cas échéant avec l'appui des responsables juridiques et opérationnels, de définir un plan d'action et de réaction à partir d'une matrice des risques majeurs auxquels s'expose l'entreprise », explique Christiane Féral-Schuhl, en soulignant l'importance d'éviter les contentieux.

« Le commissariat au droit aurait cet avantage qu'il s'assimilerait à une démarche qualité que les entreprises pourraient mettre en avant vis-à-vis des tiers (clients, fournisseurs, pouvoirs publics...), dans l'objectif d'en retirer un avantage concurrentiel et d'en faire un outil de promotion externe », répond Christiane Féral-Schuhl.

Partenariat renforcé, interventions en amont des décisions des directions d'entreprise, approche transversale... : le recours délibéré au commissariat au droit, s'il se généralisait, ferait évoluer le rôle de l'avocat auprès des directions d'entreprise. Se posent cependant la question de la formation de ce professionnel et celle de son degré de familiarité avec le secteur d'activité de sa clientèle d'entreprises. « Les avocats pourraient se former à cette approche en peu de temps », assure le bâtonnier de Paris. « La France serait ainsi le premier pays au monde à mettre le chiffre et le droit à un niveau d'équivalence dans l'entreprise », assure-t-elle.

 

 

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22/10/2012 | Lien permanent

Batonnat 2010 soirée d'études

L'Association des Avocats pour un Barreau Pluriel,

en partenariat avec

L’Association des Avocats des Petites et Moyennes Structures,

 L’Association Franco-Chinoise pour le Droit Economique,

Euromed et

l’Association Internationale des Jeunes Avocats

 

 

organise

 

Le 2ème débat des Candidats au Dauphinat

 

co-présidé par Rabah HACHED, Marc JOBERT, Jacques SAGOT, Marc LEVIS et Anne SALZER

 

 

le jeudi 17 juin 2010 de 18h00 à 20h00

à la Bibliothèque de l’Ordre des Avocats

 

 

Sur le thème

 

La présence de l’avocat parisien

sur l’international

 

Participeront les candidats suivants (ordre de prestation de serment): 


- Mme Brigitte LONGUET et M. Hervé CHEMOULI,

 

- Mme Christiane FERAL-SCHUHL  et M.Yvon MARTINET,  

 

- M. Pierre-Olivier SUR et Mme Catherine PALEY-VINCENT.

           

Vous pouvez leur soumettre vos questions par :

 

- Email : barreaupluriel2@yahoo.fr

 

 

- Fax : 01 73 02 00 91

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11/06/2010 | Lien permanent

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