08/04/2008

LE GROS MOT DE COURAGE POLITIQUE de M. BENICHOU

REDIFFUSION 

d45f07c8ad1bc48587a3e7f28d6335c0.jpgPlaidoyer pour un ordre national des avocats

Le gros mot, interdit sous peine d’omission, est prononcé, écrit et diffusé par  la courageuse Gazette du Palais du 18 mars 2008

Qui est donc cet iconoclaste liberticide ?

Qui est donc cet initiateur d’un génocide de bâtonniers ?

Qui sera donc le père du shiisme  chez les avocats de France ?

Faut il le mettre sur la sellette pour le passer à la question ?

En clair qui est donc ce nouveau bachi bouzouk

NON, Il ne s agit pas de Vincent Delmas mais de


Maitre  MICHEL BENICHOU avocat au barreau de Grenoble, ancien bâtonnier, ancien président du CNB  a proposé sa réflexion sur la gouvernance de notre profession

 LE PLAYDOYER DE Me MICHEL BENICHOU

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Vers des Barreaux de Cour par R CHAINE 
 

Le gros mot suite par R BARTHELEMY  

 

L’avenir du conseil national des Barreaux  par J.R.FARTHOUAT 

 

 

L’histoire nous enseigne que les avocats du barreau de Grenoble ont souvent été les pères fondateurs des réformes judicaires, notamment grâce à JOSEPH  SERVAN, avocat et avocat général au parlement de Grenoble, cet officier magistrat qui avait osé écrire

"et l’œil de la justice n’est point celui du cyclope qui ne s’ouvrait que pour choisir des victimes

Ce magistrat a été suivi par de nombreux autres et notamment pat l'avocat général CHARLES DUPATY ,de Bordeaux, d'autres , conservateurs du passé et de l'intolérance, ont laissé leurs empreintes  dans l'histoire sous le speudonyme de BOEUFS TIGRES comme l'a rappelé Mme E.BADINTER

Notre gouvernance professionnelle a été  édictée en décembre 1810 grâce à un avocat de NANCY  Maitre Ambroise REGNIER   duc de MASSA

Cet avocat qui a osé cumuler les fonctions de ministre de la Justice et de la Police a été l’initiateur du décret liberticide du 10 décembre 1810

La position du cercle du barreau sur le décret de 1810

Ce qu’un avocat a proposé en 1810,
un autre avocat, deux siècles après, a le droit de le réformer

L’indépendance des barreaux qui n’existe en fait que depuis 1870 et surtout depuis la suppression du délit d’audience  ne doit plus être un alibi   pour refuser les réformes indispensables

Nous soutenons donc la réflexion courageuse de MICHEL BENICHOU  

De la soumission à la liberté

182 Barreaux : notre  histoire passée et future?

LA POSITION DU CERCLE DU BARREAU

BONNE CHANCE MONSIEUR LE BATONNIER

Commentaires

Non mon cher michaud vous n'êtes pas fou comme un humoriste l a écrit sur le site du cosal
vous êtes un gros malin

pierre c

Écrit par : MALIN | 29/03/2008

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Voila des années, depuis que je milite au sein de l'ACE que je dis que la cacophonie entre nos représentant est le plus sur moyen de nous détruire et que ceux qui nous gouvernent en use allègrement et ils ont bien raison puisque c'est nous mêmes qui leur en donnaons le moyen.

Avec son talent, Michel BENICHOU le dit avec une chance d'être peut être un jour entendu. Il y a urgence !

Sinon, nos jeunes successeurs n'auront plus que leurs yeux pour leurer et le maigre espoir d'une petite retraite de fonctionnaires...

Écrit par : Jacques MONDINO | 08/04/2008

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Le général De Gaulle parlait d'un pays aux 365 Fromages . Vous savez tous ce qu'il pensait de cette situation.

Cela nous donne en moyenne deux fromages par barreau ( sauf pour le barreau de Mende qui n'a droit qu'à un vu sa taille ( NDLR)).

Un seul ordre , c'est la condition de la survie de notre profession.

Félicitations pour Michel Bénichou

Thierry Nicolaïdès

Écrit par : Thierry.Nicolaïdès | 08/04/2008

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il est clair que l ACE et le COSAL se rejoignent sur le fond
a quand le tour de l UJA

Écrit par : synthese | 09/04/2008

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ne m oubliez pas SVP

Écrit par : un candidat | 09/04/2008

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Patrick Michaud n'est pas "fou", il est visionnaire, moderne et un grand démocrate.

La France divisée en 183 barreaux et l'avocature représentée par trois organisme (dont une association 1901 ! plus un GIE) le tout dans la plus joyeuse cacophonie, c'est un modèle d'organisation et de gouvernance évidemment dépassé et nous le savons tous. Et il faut aussi une grande CARPA nationale qui sera le levier de développement économique de la profession.

Mais comme disait Edgar Faure, natif du même département que moi (l'Hérault), "avoir raison trop tôt est un grand tort"

Mais, il est vrai que cet esprit souvent subtil disait aussi que "ce n'est pas la girouette qui tourne c'est le vent"... ce qui s'applique un peu à ceux qui, avec des accents prophétiques, feignent de découvrir le besoin d'unité après avoir été président de la très obscure Conférence des Bâtonniers...


Vincent Delmas
www.cosal.net


PS : Edgar Faure est néanmoins un personnage qu'il ne faudrait pas réduire à ses aphorimes ou bien à ses traits d'esprit. Agrégé de droit, il avait été à 21 ans le plus jeune avocat de France...

Écrit par : Vincent Delmas | 11/09/2008

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lr débat est relancé par le batonnier de paris

Écrit par : A relire | 04/06/2011

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