27/03/2013
"et l’œil de la justice n’est point celui du cyclope..par M.SERVAN,avocat général
rediffusion pour actualite
Note de P.Michaud : ce blog ,déjà diffusé en janvier 2007 est un blog de réflexion sur la réforme de la justice préparée par les pères constituants de notre démocratie .
Inédit
L’article du Monde signé par le juge Gentil le 27 juin 2012
lé définition de l'abus de faiblesse de sa connaissance
Est puni de trois ans d'emprisonnement et de 375000 euros d'amende l'abus frauduleux de l'état d'ignorance ou de la situation de faiblesse soit d'un mineur, soit d'une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de son auteur, soit d'une personne en état de sujétion psychologique ou physique résultant de l'exercice de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement, pour conduire ce mineur ou cette personne à un acte ou à une abstention qui lui sont gravement préjudiciables.
LA TRIBUNE SUR LES "ACCUSATIONS SECRETES"
QUI ETAIT L'AVOCAT GENERAL SERVAN ?
"Et l’œil de la justice n’est point celui du cyclope,
qui ne s’ouvrait que pour choisir des victimes"
21:47 Publié dans a déclaration de soupçon, La fonction d'avocat | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : abus de faiblesse | Facebook | | | | Imprimer | |
CJUE Deux poids deux mesures en matière de TVA
ou va donc la cour de luxembourg ??!!
Aide juridictionnelle TVA 19.6 %
Prestations financières TVA 0%
Chercher l’erreur ???
L’arrêt CJUE du 17 juin 2010 supprime la tva au taux réduit
pour l’aide juridictionnelle
En application de l’article 279 f du CGI, le taux réduit de TVA étaitt applicable aux « prestations pour lesquelles les avocats, les avocats au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation et les avoués sont indemnisés totalement ou partiellement par l’État dans le cadre de l’aide juridictionnelle». ;l aide juridictionnelle etant teserve qu'à des justiciables disposant de tres faibles revenus (700 €) ce qui leur interdit en fait d'acceder à la Justice
Ce taux réduit a été institué par l’article 32 de la loi n° 90-1168 du 29 décembre 1990 de finances pour 1991 afin d’atténuer les conséquences de l’abrogation de l’exonération de TVA sur les prestations réglementées accomplies par les avocats et les avoués. au profit des personnes à faibles revenus
CJUE, 17 juin 2010, Aff. C-492/08, Commission européenne c./ République Française.
dans un arrêt du 17 juin 2010 introduit sur recours en manquement de la Commission européenne, la Cour de justice de l’Union européenne a estimé que ce taux réduit de TVA était contraire au droit communautaire, les avocats s ne pouvant être considérés comme des « organismes ayant un caractère social et étant engagés dans des œuvres d’aide et de sécurité sociale» qui seuls peuvent bénéficier de ce taux réduit en application de l’annexe III à la directive précitée 2006/112/CE du 28 novembre 2006 relative au système commun de TVA
l'application de la TVA au taux de 19.6% à l'aide juridictionnelle
L’arrêt CJUE du 7 mars 2013 exonère de tva
les conseils en investissement
CJCE, affaire GfBk, C-275/11 du 07 mars 2013
Par une décision du 7 mars 2013, la Cour de justice de l'Union Européenne (CJUE) a retenu que les prestations de conseil en investissement rendues à des sociétés de gestion sont exonérées de TVA. Elle estime ainsi que l'exonération de TVA normalement applicable aux opérations de gestion doit s'étendre aux prestations de conseil en investissement rendues par des tiers :
« les prestations de conseil en placement de valeurs mobilières fournies par un tiers à une société de placement de capitaux, gestionnaire d'un fonds commun de placement relèvent de la notion de «gestion de fonds commun de placement» aux fins de l'exonération prévue à ladite disposition, quand bien même le tiers n'aurait pas agi en exécution d'un mandat, au sens de l'article 5 octies de la directive 85/611/CEE du Conseil, du 20 décembre 1985, portant coordination des dispositions législatives, réglementaires et administratives concernant certains organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM), telle que modifiée par la directive 2001/107/CE du Parlement européen et du Conseil, du 21 janvier 2002
mais comment va juger, au nom du peuple francais,
le conseil d etat sur l'arret DPA INVEST
CAA de Paris, 2ème chambre , 07/03/2012, 10PA03688, Inédit au recueil Lebon
06:53 Publié dans Le périmètre du Droit | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
23/03/2013
Déontologie des magistrats
Statue de Thémis trouvée à Rhamnonte en Attiqe, dans le petit temple de Némésis, v. 300 av. J.-C., Musée national archéologique d'Athènes
Rendre la justice est une fonction essentielle dans un État de droit. Les magistrats ont entre les mains la liberté, l’honneur, la sûreté et les intérêts matériels de ceux qui vivent sur le territoire de la République.
Ce rôle éminent fonde les exigences que chacun peut avoir à leur égard et appelle des moyens humains, budgétaires et matériels adaptés.
et l’œil de la justice n’est point celui du cyclope
Recueil des obligations déontologiques
des magistrats
A. L’indépendance.
B. L’impartialité.
C. L’intégrité.
D. La légalité
E. L’attention à autrui.
F. Discrétion et réserve.
Les principes, commentaires et recommandations de ce recuil ont pour objectif d’établir des références déontologiques pour les magistrats français.
Ils ont été conçus pour les soutenir, les orienter et fournir à l’institution judiciaire un cadre permettant de mieux appréhender sa déontologie.
Ils ont également pour finalité d’éclairer les représentants des pouvoirs législatif et exécutif, ainsi que les auxiliaires de justice et le public, afin de faire mieux connaître la complexité de l’action des magistrats dans l’exercice de leurs missions.
Le magistrat, membre de l’autorité judiciaire, tire sa légitimité de la loi qui l’a voulu indépendant et impartial, principes qui s’imposent aux autres pouvoirs. La méconnaissance de ces impératifs compromettrait la confiance du public
Le magistrat démontre, par son intégrité, qu’il est digne de décider de l’exercice des droits essentiels des individus. Plus que tout autre, il est tenu à la probité et à la loyauté. Par sa connaissance, en permanence renouvelée, des textes et des principes applicables, et par son souci de ne jamais renoncer à la protection des libertés individuelles dont il est gardien, le magistrat affirme la prééminence du droit.
La justice est rendue au nom du peuple français.
Le magistrat se doit de prêter attention à ceux qu’il juge, comme à ceux qui l’entourent, sans jamais attenter à la dignité de quiconque, en préservant l’image de l’institution judiciaire et en respectant le devoir de réserve.
Ce Recueil ne constitue pas un code de discipline mais un guide pour les magistrats du siège et du parquet qui appartiennent, en France, au même corps. Sa publication est de nature à renforcer la confiance du public dans un fonctionnement indépendant et impartial du système judiciaire français.
UN MAGISTRAT DES LUMIERES : JOSEPH SERVAN...
Les tribunes sur la responsabilité des magistrats
12:44 Publié dans DEONTOLOGIE, RESPONSABILITE DES MAGISTRATS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : deontologie des magistrats, et l’œil de la justice n’est point celui du cyclope | Facebook | | | | Imprimer | |
20/03/2013
Du Vigouroux:sur le sens de la République
Georges Picquart, dreyfusard, proscrit, ministre (éd. Dalloz).
Georges Picquart (1854-1914) est le chef du service secret militaire français pendant l'affaire Dreyfus. Il est celui qui va apporter la preuve matérielle de l'innocence d'Alfred Dreyfus en 1896 (le petit bleu) et identifier la culpabilité d'Estherazy. En refusant d'ignorer la vérité des faits contre toutes les pressions, en refusant de se taire et de se terrer, le colonel Picquart fait le choix de la vérité et de l'exactitude contre celui d'une brillante carrière.
En retour, il sera lourdement condamné par l'Etat-major, banni de l'armée pendant 10 ans et emprisonné. Son indépendance d'esprit, sa droiture et son opposition farouche à son milieu incarnent, avant l'heure, ce qu'on appelle désormais, le devoir de désobéissance. Ce livre est une biographie qui trace le portrait d'un personnage central de l'affaire Dreyfus et témoigne de la personnalité exceptionnelle d'un homme en résistance avec son milieu.
Le dossier secret de l'affaire Dreyfus n'avait jamais été publié dans son intégralité. La mise en ligne sur ce site est donc une première. Véritable fil rouge de ce feuilleton militaro-judiciaire, cet ensemble documentaire a pourtant été le principal objet accusatoire utilisé à l’encontre d'Alfred Dreyfus, dans le cadre des procès militaires et civils, publics ou à huis clos. C'est donc un document historique de première importance que le Service historique de la défense rend accessible au public et aux chercheurs.
http://www.affairedreyfus.com/
"Déontologie des fonctions publiques",
La déontologie n'est pas innée. Elle ne s'improvise pas. Même si Philippe le Bel avait déjà tout prévu dans son ordonnance du 23 mars 1303, les méconnaissances de la déontologie semblent aujourd'hui toujours nombreuses et plus rapidement connues. Parallèlement, les exigences du citoyen, électeur, usager, contribuable, syndicaliste, éventuellement requérant, sont toujours plus élevées. Des attentes nouvelles apparaissent, notamment sur les thèmes de la sécurité, la laïcité, la diversité, l'efficacité des politiques de l'emploi, des déclarations de conflits d'intérêts, des rapports avec la presse, du secret des fichiers administratifs et de la vie privée ou encore de la responsabilité pour délits non intentionnels. La France se dote progressivement, secteur par secteur, de documents de référence guide, charte, recueil, et souvent d'instances d conseil, d'interprétation ou de médiation.
Tel est l'enjeu : faire que le chargé des fonctions publiques, élu, fonctionnaire, magistrat ou militaire soit un "homme d'Etat" par ses "vertus et ses talents".
A partir de l'analyse des textes et d'une jurisprudence abondante, l'auteur explore une déontologie qui n'est ni l'éthique ni la morale mais l'énoncé et la mise en pratique des devoirs du chargé de missions publiques dans les situations concrètes, en vue du bon exercice des fonctions. Une déontologie, conçue pour faire l'économie du recours à la discipline ou au pénal, qui s'appuie à la fois sur la norme juridique, l'orientation hiérarchique et sur les références professionnelles ou associatives librement consenties.
22:16 | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
12/03/2013
L’ expert-comptable DANS l’entreprise
L’expert-comptable peut prendre une participation ou devenir dirigeant à certaines conditions
les tribunes sur l'expert comptable
Les experts-comptables et les sociétés d'expertise comptable peuvent détenir des participations financières dans des entreprises de toute nature.
Les experts-comptables ont aussi le droit d'accepter tout mandat social dans une société, un groupement ou une association pourvu que ce mandat ne porte pas atteinte à leur indépendance ; l'exercice de ces droits est soumis au contrôle du conseil régional de l'ordre
(Ord. du 19-9-1945 art. 7 quater et 22, al. 6).
Le règlement intérieur de l'ordre des experts-comptables vient de préciser les modalités d'application de ces dispositions, ces modalités entrant en vigueur le 1er avril 2013.
06:20 Publié dans EXPERT COMPTABLE | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
11/03/2013
Elle a bravé la censure et on se marre enfin chez les avocats
10:42 Publié dans zLe cercle classique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : quand je pense à fernande | Facebook | | | | Imprimer | |
08/03/2013
60 milliards d'économies !
60 milliards d'économies !
Agnès Verdier-Molinié
pour commander l'ouvrage cliquer
La fondation IFRAP
LeTemps.ch _
Des indignés de l’administration française
s’en prennent à son obésité.pdf
Plus la France s'enfonce, plus nous renforçons le modèle de l'Etat dépensier qui nous ruine, et plus nous avons peur de le réformer. Un rapport confidentiel de l'inspection des Finances commandé avant l'alternance dressait pourtant une liste des économies possibles pour redresser le pays.
Aujourd'hui, toute perspective de création de richesses est brisée, l'avenir est sombre, entre chômage de masse et dette publique galopante. Les réformateurs - dont quelques ministres - sont broyés par la machine administrative qui protège ses propres intérêts. Ce n'est plus soixante milliards d'euros d'économies sur les dépenses publiques sur la durée du quinquennat, comme l'a annoncé François Hollande, qu'il faut réaliser, mais soixante milliards chaque année, si on ne veut pas voir notre système s'effondrer !
01:27 Publié dans JUSTICE et LIBERTES, L'avocat:un chevalier du droit, L'avocat:un héritier des Lumières | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
06/03/2013
Adoption d un enfant par un couple d’homosexuels ( à suivre )
Le cercle diffuse les jurisprudences faisant débats
sur cette question d'évolution de notre société francaise
suite à notre tribune du 16 février , la CEDH a rendu un nouvel arrêt établissant un début de nouvelle jurisprudence
attendons l'arrêt de grande chambre
Comment va juger prochainement la grande chambre de la CEDH
cliquer
AFFAIRE X ET AUTRES c. AUTRICHE
(Requête no 19010/07)
Saisie d’une requête dirigée contre l’Autriche, la Cour européenne des droits de l’Homme a interprété, le 19 février dernier, les articles 8 et 14 de la Convention européenne des droits de l’Homme relatifs, respectivement, au droit au respect de la vie privée et familiale et à l’interdiction de discrimination (X et e.a. c. Autriche, requête n°19010/07).
01:59 Publié dans CEDH, Europe et Justice | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
05/03/2013
France 2013 : les nouvelles fractures
France 2013 : les nouvelles fractures
mise à jour mars 2013
DEBAT En France, la résignation avant la révolte sociale ?
Pierre Ferracci est expert auprès des syndicats. Raymond Soubie auprès des directions d'entreprise. Pour « Les Echos », ils ont accepté d'échanger leurs points de vue sur la montée du chômage, les restructurations et l'accord emploi. Ils s'inquiètent tous les deux du climat social, lourd de menaces.
Sciences Po vous invite 26 mars
X X X X
L'enquête d'Ipsos, intitulée "France 2013 : les nouvelles fractures" et réalisée avec le Centre d'études politiques de Sciences Po (Cevipof) et la Fondation Jean-Jaurès, ne confirme pas seulement les tendances lourdes de l'opinion publique.
France 2013 : les nouvelles fractures
A l'évidence, la crise économique et sociale de ces dernières années les a consolidées.
On savait les Français très préoccupés par l’emploi et le pouvoir d’achat ; les résultats de l’enquête mettent en évidence un autre mouvement : le profond repli de l’opinion qui atteint en ce début d’année 2013 un niveau jamais égalé.
Ce mouvement se caractérise par une très forte défiance à l’égard du monde extérieur et d’autrui. Pour 78% des personnes interrogées, « on n'est jamais trop prudent quand on a affaire aux autres », 58% pensent que « la France doit se protéger davantage du monde d’aujourd’hui plutôt que de s’ouvrir au monde extérieur ». On observe parallèlement un important rejet du système démocratique et médiatique.
Pour 62% des Français, « la plupart des hommes et des femmes politiques sont corrompus » contre seulement 38% pour qui il s’agit d’un phénomène minoritaire. 58% estiment que les journalistes font mal leur travail et 72% qu’ils ne parlent pas des vrais problèmes des Français.
Les attentes de l’opinion se positionnent pour un renforcement de l’autorité politique et de l’échelon national. 87% des Français sont d’accord avec l’idée selon laquelle « on a besoin d’un vrai chef en France pour remettre de l’ordre » ; 65% estiment que pour faire face aux grands problèmes à venir il « faut renforcer les pouvoirs de notre pays quitte à limiter ceux de l’Europe ».
L’historien Michel Winock commente l étude « France 2013 : Nouvelles Fractures » et décrypte l’état d’esprit «délétère» et «angoissé» des Français.
11:02 Publié dans GOUVERNANCE, JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
03/03/2013
La suisse ; le modèle européen de démocratie directe
Ce dimanche.3 mars 2013, l’initiative dite «contre les salaires abusifs» a été acceptée par 67,9% des voix et tous les cantons
Rémunération excessive : risque fiscal mais aussi pénal
Le referendum populaire en suisse
une explication simple de l’objet du refendum
Les résultats, canton par canton
Loin de la commission de Bruxelles et des fonctionnaires de l OCDE les citoyens ont pris leur destin en main en ordonnant à leur mandataires de mettre un frein aux pratiques d’une petite poignée de dirigeants dont l’avidité aux gains non mérités est leur marque de pensée
La presse internationale s’est réveillée devant cette révolution
Avec ce texte, la Suisse, très en retard en termes de gouvernance, va vivre une vraie révolution. Elle va devenir le champion du monde de la démocratie actionnariale. Tous les ans, les actionnaires vont voter de manière contraignante, sur le total de l'enveloppe salariale de la direction générale, et sur celle du conseil d'administration. Tous les ans également -et non plus tous les trois ans -, les membres du conseil d'administration seront élus, de manière individuelle. Les parachutes dorés ou les primes de bienvenue seront totalement interdits. Et en cas de non-respect des décisions prises par l'assemblée générale, les dirigeants s'exposeront à des sanctions pénales pouvant aller jusqu'à trois ans de prison et six ans de salaire. Ce changement est capital car il sera inscrit dans la Constitution suisse qui est peu appelée à modification, contrairement à la loi. Source les échos
sur le site lemonde.fr. Le peuple a le dernier mot: «Les patrons sauteront désormais sans parachutes», annonce la correspondante du journal parisien en Suisse.
La BBC souligne que la Suisse se dote d’une réglementation «parmi les plus sévères au monde sur les rémunérations des managers»
La Stampa, en Italie, prend acte du «coup de frein» que l’initiative veut donner aux rémunérations des managers des sociétés cotées en Bourse
La Repubblica se demande ironiquement s’il faut parler de la Suisse comme d’un «ex-paradis capitaliste» dans un commentaire plus largement consacré aux nouvelles dispositions européennes, «les plus sévères de la planète», sur la rémunération des banquiers et qui ont été publiées la semaine dernière.
En Allemagne, Der Spiegel constate que les salaires exorbitants des managers irritaient les Suisses depuis des années, sans que l’économie s’en inquiète. Le terrain était prêt pour une correction.
18:28 Publié dans Europe et Justice, GOUVERNANCE | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |