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2Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (2/10)

90f7e99d83b6462d33c2ce520d9b9ec9.jpgPendant les vacances , nous diffuserons l’histoire , notre histoire au XVIII ème siècle

UN AVOCAT JOURNALISTE AU XVIII ème SIÈCLE, LINGUET
par Jean Cruppi. Paris : Hachette, 1895

 

 

CHAPITRE I. (1736-1764)   
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- Portrait de Linguet - Sa grande célébrité ; causes de son oubli. - I. Famille de Linguet, - Ses succès d’écolier ; ses rivaux de collège ; les empereurs de rhétorique au XVIIIe siècle : La Harpe, Turgot, Linguet, Robespierre. - Le cheval du duc de Deux-Ponts. - II. Les soupers de Fréron. - Un faux ménage littéraire : Linguet et Dorat ; collaboration, rupture. - III. Expulsion des jésuites ; le père Berthier ; les Plaintes d’un jeune jésuite. - Histoire du siècle d’Alexandre ; premiers paradoxes. - Linguet aide de camp ; voyage en Espagne avec le prince de Beauvau. - IV. Projets d’industrie ; Voyage en Hollande. - Séjour à Abbeville. - V. Démêlés de Linguet avec le mayeur Duval de Soicourt ; les Douville de Maillefeu. - Linguet professeur ; leçons au chevalier Lefebvre de La Barre. - VI. Le Fanatisme des philosophes ; les Reformes de la justice.- Linguet quitte Abbeville pour entrer au barreau ; un avocat sans illusions.

1ère partie

 

 

 

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01/08/2015 | Lien permanent

3Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (3/10)

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CHAPITRE lI. (1764)

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- I. Tableau du Palais de Justice en 1764.- Entrée de Linguet au stage. - Moeurs et usages du barreau. - La Grand ’Salle, les libraires et les douze Bancs. - Les avocats célèbres.

- II. Gerbier. - Rôle effacé des avocats au XVIIIe siècle.

- III. Importance sociale et politique des magistrats. - Coup d’oeil sur les Parlementaires. - Maupeou ; Malesherbes.

- .IV. Découragement de Linguet à ses débuts. - Il publie les Révolutions de l’Empire romain. - Malveillance de Grimm 47

1ère partie

2éme partie

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03/08/2015 | Lien permanent

4Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (4/10)

ff10f4e42561a3e20e0c5a060d677e0d.jpg CHAPITRE III. (1765-1766)  

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- Rôle de Linguet dans l’affaire d’Abbeville. - Il est le défenseur du chevalier de La Barre et de ses coaccusés. - I. Mutilation du crucifix ; l’évêque d’Amiens ; les monitoires. - La jonction. - Le Procureur Hecquet ; sa correspondance avec le Procureur général Joly de Fleury. - Il. Duval de Soicourt ; de Broutelles ; Lefebvre de Villers. - Les accusés ; le chevalier ; Mme Feydeau de Brou. - D’Estalonde ; Moisnel ; de Maillefeu. - III. L’enquête ; le Dictionnaire philosophique. Mémoire de Linguet. - IV. L’abbesse ; le président d’Ormesson. - Le maréchal de Soubise. - V. Sentence ; appel ; arrêt du Parlement. - Les scrupules de la Grand ’Chambre. - VI. Intervention d’amis ; la grâce ; le sursis. - VII. Le procès-verbal de torture. - VIII. Le supplice du chevalier. - État de frais de Sanson. - IX. Mémoire de Linguet pour les jeunes Moisnel, de Saveuse et de Maillefeu. - Grand effet de ce mémoire ; plainte de Duval de Soicourt ; sa déclaration de déport. - Les accusés sont absous ; cette affaire commence la célébrité de Linguet. 69

1ère partie  2éme partie  3ème partie

A lire aussi Qui donc était le boeuf tigre ?

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08/08/2014 | Lien permanent

6Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (6/10)

  a71b5c2bd8aa8ef59f85ba29a9cfbe33.jpgCHAPITRE V (1770-1771)

 

- Le duc d’Aiguillon chez Linguet ; un drame en trois actes ; l’Aiguilloniana. - I. Une charretée de dossiers. - Le Conseil privé du duc d’Aiguillon. - Courte lune de miel entre Linguet et l’ancien gouverneur de Bretagne ; le chevalier d’Abrieu. - Il. Premier mémoire ; exorde refait par Marmontel ; la sacoche. - Effet du mémoire dans le public. - III. L’administration du duc en Bretagne ; La Chalotais et sa simarre ; les chefs d’accusation ; le poison ; l’abbé Clémenceau. - IV. Portrait de Maupeou ; son plan ; le coup de deux ; la fin du procès de Bretagne. - V. Nouveaux mémoires de Linguet ; ils sont brûlés à Rennes. - VI. Règlement d’honoraires ; Montcornet ; le Château-Rose. - VII. Le tripot du Ministre. - Le poste d’envoyé de l’Évêque de Spire ; prétentions de Linguet ; refus de son ancien client 203

1ère partie  2éme partie  3ème partie 4ème partie 5ème partie

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11/08/2014 | Lien permanent

9Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (9/10)

7f55c1f8c6c1a25f54ee1e90d664cc33.jpgCHAPITRE VIII (1774.1771) 

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  1.  - Mort de Louis XV ; bienveillance du nouveau roi et de la reine pour Linguet. - I. Une lettre de M. de Vergennes. - Imprudence du duc de la Vrillière ; les deux lettres à d’Aiguillon ; menaces de procès. Scènes avec Maurepas. - Il. Linguet journaliste ; son traité avec Panckoucke. - Le Journal de politique et de littérature ; jeunes collaborateurs, Brissot, Mallet-Dupan. - Le censeur Cadet de Senneville. - III. Rappel de l’ancien Parlement. - Arrêt du 11 janvier 1775 qui autorise Linguet à continuer ses fonctions d’avocat. - IV. Protestations de l’Ordre ; réunions et scènes violentes ; le bâtonnier Lambon ; assemblées des députés des Bancs ; les quinze griefs. - Supplément aux Réflexions ; Linguet est renvoyé à l’assemblée générale de l’Ordre. - V. Assemblée générale ; scène du 3 février ; émeutes au Palais ; la radiation de Linguet est votée par le barreau. - VI. Les variations de « Messire Antoine » arrêts contradictoires du Parlement ; une agonie d’avocat. - Le plaidoyer de Mme de Béthune. - La Grand ’Chambre cède au voeu du barreau ; par arrêt du 29 mars 1773, Linguet est définitivement rayé. - Linguet martyr ; vers à sa louange ; le Pot pourri de Brissot ; étoffes et bonnets rayés. - VII. Retour à la vie de bohème 351

 

1ère partie  2éme partie  3ème partie 4ème partie


 
 5ème partie 6ème partie 7ème partie  8ème partie

 

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25/08/2014 | Lien permanent

Henry LINGUET , un avocat journaliste au XVIII ème

5da850910d47d56a8dd5ceaa2aa0a669.jpgSimon-Nicolas-Henri Linguet  est né à Reims le 14 juillet 1736 et est mort sur l’échafaud à Paris le 27 juin 1794 .

 Il  était un avocat, publiciste, homme de lettres et cultivateur.

Issu d’un père d’origine ardennaise, avocat janséniste au parlement, greffier-en-chef de l’Élection de Reims, ancien vice-principal du Collège de Navarre, et d’une mère rémoise, descendante de Nicolas Bergier.

Me LINGUET un avocat au XVIII ème siècle

1ère partie  2éme partie  3ème partie 4ème partie
 
 5ème partie 6ème partie 7ème partie  8ème partie       
9ème partie 

 

un document historique

les Annales politiques, civiles et judiciaires (1777).

Sous l'Ancien Régime

Élève brillant, Linguet fit ses études à Paris. Avant la Révolution , Simon Henri Nicolas Linguet exerça la profession d'avocat. Il côtoie alors les cercles anti-philosophiques et compose quelques recueils littéraires.

Il fut un des avocats du chevalier de la barre

Après dix ans d'exercice dans le droit, il fut rayé du barreau en raison de son attitude déloyale et de son mépris à l'égard de ses collègues.

 

Simon Henri Nicolas Linguet se reconvertit dans le journalisme et devient le rédacteur de la feuille hebdomadaire de Charles-Joseph Panckoucke, le Journal de politique et de littérature.

 Ce journal attaque à peu près tous les milieux. Quelques mois plus tard, il doit quitter son poste, du fait d'attaques trop virulentes envers les membres de l'Académie française et sous la pression ministérielle de Vergennes et de Miromesnil.

"Fougueux, caustique, sarcastique, il se fit partout des ennemis, accusant les uns et les autres à tort et à travers. Il prétendait que le bâtonnier des avocats déclamait contre le droit romain. Ses ennemis lui rendirent la pareille et l'on rapporta à son sujet la "spirituelle" charade :
Mon premier sert à pendre
Mon second mène à pendre
Mon tout est à pendre."

Après s'être aliéné le pouvoir et les institutions littéraires, il rentre dans un exil volontaire à Londres, d'où il lance, en mars 1777, les Annales civiles, politiques et littéraires. Peu de temps après, il continue son entreprise éditoriale aux Pays-Bas autrichiens. Mais, attiré à Paris en septembre 1780, il est aussitôt incarcéré.

Emprisonné à la Bastille de 1780 à 1782, il regagne l'Angleterre à sa libération. Il y renoue avec les Annales et livre son sensationnel Mémoire sur la Bastille.

L'année suivante, il mène campagne pour la réouverture des bouches de l'Escaut. Le gouvernement autrichien, ravi, lui livre des lettres de noblesses et arrange son retour en France. Protégé par Joseph II comme par Louis XVI qui goûte son style journalistique, il rentre en France, avec l'aura d'un héros populaire. 

 Sous la Révolution

Il obtint la célébrité avec ses Mémoires sur la Bastille. 

 Après un séjour dans les Pays-Bas révoltés en 1789, il se rapproche du Club des Cordeliers.

En 1791, il prend la défense de l'assemblée coloniale de Saint-Domingue devant l'Assemblée constituante. 

Sous l’Assemblée législative il porte des accusations contre le ministre Antoine François Bertrand de Molleville.

Au milieu de l'année 1792, il abandonne le journalisme et se retire sur les terres du château de Marnes-les-Saint-Cloud (actuellement Marnes-la-Coquette), où il est élu maire et mène une existence tournée vers la philanthropie.

Il fut arrêté sous la Terreur sur l'accusation de publication d'articles élogieux publiés dans son journal avant la Révolution afin d'obtenir des gratifications de monarques étrangers.

 Des lettres trouvées dans l'Armoire de fer ne firent rien pour son cas.

Ces flatteries datant de 1784 l'envoient à la guillotine le 9 messidor an II (27 juin 1794). Il fut inhumé au cimetière de Picpus.

 Pensée et œuvres 

 

Sa pensée politique est complexe et souvent d'aspect contradictoire. Bien qu'il ait écrit les louanges de Joseph II d'Autriche,  il apporte son soutien à la révolution brabançonne.

Dénonçant le despotisme de l'Ancien Régime, il se méfie du peuple en révolution.

Adversaire du parti philosophique, ses ouvrages sont marqués par un radicalisme sans demi mesure. 

 Il est finalement accusé de collusion avec la monarchie. Curieux contre-révolutionnaire qui défend un égalitarisme proche du babouvisme.

Il publia plus de cinquante ouvrages et fonda les Annales politiques, civiles et judiciaires (1777).

Il fit l’objet de nombreuses études, dont la plus ancienne est peut-être celle de Charles Monselet  dans Les originaux du siècle dernier : les oubliés et les dédaignés .

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29/08/2014 | Lien permanent

LINGUET REVIENT !

Rediffusion

259be72e8e7b0ad06a5fed3299c9b157.jpgMémoires sur la BASTILLE

par Me LINGUET cliquer

les tribunes sur Linguet

La Cour de cassation - chambre criminelle- confirme une peine allongée par erreur de transcription LEMONDE.FR avec AFP | 25.07.07 | 11h12  •  Mis à jour le 25.07.07 | 12h11

Dans un arrêt du 12 juin 2007 N° 07-82255 ,(cliquer) la Cour de cassation -chambre criminelle- a confirmé la condamnation d'un homme à trois ans de prison au lieu de deux, à la suite d'une erreur de transcription d'un greffier lors d'un premier jugement. Cet homme de 24 ans, jugé avec seize autres prévenus, avait été condamné en mai 2006 à deux ans de prison dont six mois avec sursis.

A mi-peine, en décembre 2006, le prévenu et son avocat avaient déposé une demande de semi-liberté. Ils se sont alors aperçus de l'erreur de transcription dans le jugement. Cette erreur avait automatiquement fait annuler le jugement de semi-liberté puisqu'il ne pouvait être question de libération avant que la moitié de la peine ait été purgée.

Son avocat avait engagé une "requête en difficulté d'exécution"  pour que l'erreur soit corrigée. Les juges de la 12e chambre ont reconnu une "erreur lors de la transcription", mais le parquet de Nanterre a fait appel. La cour d'appel de Versailles a confirmé le premier jugement de deux ans. Le parquet général de Versailles avait alors saisi la Cour de cassation, qui a cassé l'arrêt précédent de la cour d'appel.

A lire aussi un arrêt de liberté de la Chambre civile présidée

par Mr le président ANCEL

Les chambres civiles de la Cour de cassation 2002-2006 et la Convention de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales

OU SONT LES BOEUFS TIGRES DE VOLTAIRE ? cliquer

 

 

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18/08/2011 | Lien permanent

Mémoires sur la Bastille, par Me Linguet (1/10)

cd16871e45e4db44d02783fca1c85b87.gifMémoires sur la Bastille, de Simon-Henri-Nicolas Linguet,

 Réédition du texte de Simon-Henri-Nicolas Linguet, qui, à la veille de la Révolution, faisait de la forteresse un des symboles de l’Ancien Régime

 

Durant les vacances ,LE CERCLE DU BARREAU va bloguer des œuvres d’histoire notamment sur notre confrère LINGUET,c’est à dire sur la vie du Parlement de Paris au XVIII ème siècle

Notre confrère  n’a été avocat au Parlement de Paris que pendant dix ans. 

 

A l’époque ,l’accusé devait prêter serment et l’avocat était interdit de procès pénal , nos confrères  ne pouvaient pratiquer la défense pénale que par la diffusion de factums cliquer ..

La bibliothèque de l’ordre en possède plus de trois mille dont les plus célèbre ont été des piliers de notre révolution judiciaire de 1789.(pour lire notre histoire avant 1789 cliquer)

le 9 octobre 1789 : abrogation de l'ordonnance de colbert

LINGUET  fut un des premiers avocats de rupture ,et devint rapidement la coqueluche du tout Paris malgré son caractère arrogant et souvent méprisant .Ce confrère , qui a été un des avocats du CHEVALIER DE LA BARRE contre les bœufs tigres  , ennemis jurés de VOLTAIRE a  laissé une marque auprès de nombreux historiens  ce qui va nous permettre de revisiter la vie du parlement de Paris au XVIII ème Siècle

Après sa radiation du barreau  sur demande de notre confrère GERBIER ,Linguet est devenu  un des fondateurs du journalisme politique en France avant 1789. L’homme polémique alors avec les philosophes, avec l’Académie, avec des ministres et nombre d’autres personnages puissants.

Sans doute va- t-il trop loin contre certains et, en 1780, il est embastillé. Il séjourne deux ans dans la forteresse, puis, une fois libéré, vit à l’étranger jusqu’à la Révolution. Les Mémoires qu’il consacre en 1783 à la prison d’État sont un ouvrage essentiel pour qui souhaite comprendre comment le mythe de la Bastille a enflé dans les années 1770-1780 alors même que la prison était de moins en moins utilisée.

 Le frontispice de l’édition de 1783 est orné d’une gravure représentant la foudre s’abattant sur un château en ruines… tout un symbole pour Linguet, qui achevait son livre par un appel direct à Louis XVI, en ayant soin de séparer ce « bon » roi innocent de ses « mauvais » ministres :

« Vous êtes donc bien loin de soupçonner que, dans votre royaume, dans votre capitale, sous vos yeux, il existe une place dévouée spécialement à perpétuer sur l’innocence une question [torture] mille fois plus cruelle que toutes les questions préparatoires proscrites par vous […] Parlez ! À votre voix on verra s’écrouler les murailles de cette moderne Jéricho, plus digne mille fois que l’ancienne des foudres du Ciel et de l’anathème des hommes. »

Rhétorique classique, qui suppose que les puissants de ce monde puissent ignorer ce que font leurs subordonnés…

Le coeur de l’ouvrage réside dans la troisième et dernière partie. Loin de s’inscrire dans toute une veine littéraire qui se complaît alors à évoquer les tortures, c’est avant tout sur la violence psychologique qu’insiste Linguet, et en cela certains passages de son récit sont d’une sinistre modernité. Tout est fait pour tourmenter « l’âme » et sa plume montre que ces tourments peuvent être pires que ceux infligés au corps.

Somme toute, peu importe que les historiens aient depuis remis en question la sévérité des conditions de détention à la Bastille ; ce qui est fondamental dans le récit de Linguet, c’est, d’une part, sa capacité à frapper les imaginations, d’autre part, le caractère de facto universel de sa dénonciation. En effet, à lire ses Mémoires, on ne peut parfois s’empêcher de penser à d’autres époques et à d’autres emmurés vivants, dont les noms et les  lieux sont  révélés dans la presse internationale .

À lire ses Mémoires, on saisira aussi et surtout comment le 14 juillet 1789 a pu devenir un événement clef dans l’été 1789 et un symbole par sa place dans l’imaginaire collectif des Français depuis plus de deux siècles.

Le journal Révolutions de Paris, dans son premier numéro, le 19 juillet 1789, achevait son récit de la prise de la Bastille par cette phrase : « Ce soir, il y a illumination. »

pour lire le journal de l'époque cliquer

 

Si Linguet prend parti pour la révolution, il n’en finit pas moins par être considéré comme suspect et est arrêté en septembre 1793, puis envoyé à la guillotine en juin 1794 pour avoir « encensé les despotes de Vienne et de Londres ».

 

 Texte préparé grâce à Michel Biard, historien

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30/07/2015 | Lien permanent

5Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (5/10)

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CHAPITRE IV. (1766-1770)

 

- I. Premiers clients de Linguet. - La Théorie des loix ; Discours préliminaire ; la vengeance de Duval de Soicourt. - II. Un précurseur de Karl Marx et Lassalle ; le bon despote ; un socialiste méconnu. - III. Critiques furieuses contre la Théorie des loix : Grimm ; Dupont de Nemours ; La Harpe ; Mirabeau. - IV. Les clients affluent. - Les secrétaires de Linguet ; François de Neufchâteau. - Pierre Lequesne ; le Suisse des Tuileries. - V. Ouvrages littéraires ; l’Histoire des Jésuites ; le roi de Prusse ; M. de la Bletterie ; les Canaux navigables. - Attaques contre Cicéron. - Correspondance avec Voltaire ; le cul-de-sac de Rohan. - VI. Guerre avec le Mercure. - VII. Un projet de mariage royal ; Louis XV et Mme du Barry ; mémoire pour Simon Sommer, charpentier à Landau. 155

LINGUET chap IV.pdf

1ère partie  2éme partie  3ème partie 4ème partie

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05/08/2014 | Lien permanent

7Me LINGUET, un avocat au XVIII siécle (7/10)

622d3d1501ed6941b70ddd7d539c22d8.jpgCHAPITRE VI (1771- 1773)

 

- Le chancelier Maupeou. - I. Un parlement excommunié. Avocats du ; avocats au ; la Saint-Martin de 1771 ; Linguet est parmi les rentrants. - L’ aigle du Parlement Maupeou. - II. L’affaire du marquis de Gouy d’Arsy ; un procès de séparation de corps dans le grand monde au XVIIIe siècle. - III. Les griefs ; un logement au Louvre ; les toilettes de la marquise ; le jeu de « Madame » ; le chien Zizi ; cause gagnée. - IV. La duchesse d’Olonne. - Linguet et les traitants. - V. Mme de Bombelles ; un mariage au désert , Me de Vaucresson ; Linguet réprimandé. - VI. Entrée en scène de Mme Buttet ; ses lettres à Linguet ; début de leur liaison ; accusation de Brissot. - VII. Vifs démêlés de Linguet avec les Gens du roi ; un grand schisme au Palais. - Mlle La Caille. - Affaire de Bellegarde ; première lettre de cachet ; Linguet est exilé à Chartres 253

1ère partie  2éme partie  3ème partie 4ème partie  5ème partie  6ème partie

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13/08/2014 | Lien permanent

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