28/09/2012
PICSOU Ne m'oubliez pas SVP !
f Picsou nous a écrit pour nous dire qu’il ne voulait pas perdre son épargne .
Bien entendu nous lui laissons la parole, celle en fait du prix Nobel d’économie
Notre bon sens paysan sait qu’une dette doit être remboursée. Mais comment?
A ce jour de déflation, soit par le créancier c'est-à-dire l’épargnant ;
soit par le débiteur c’est à dire la masse des braves gens et ce sans dévaluation légale, euro oblige pour l’instant
soit par les deux
Une autre solution serait envisageable mais elle est auto censurée à juste titre par nos politiques
Nous en reparlerons
A Genève, Le Prix Nobel d’économie Amartya Sen
estime que les pays font trop d’austérité
pour lire sa position diffusée par Le TEMPS
Cliquer pour imprimer et lire
21:51 Publié dans Des propositions de développement, Europe et Justice, GOUVERNANCE, JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
08/09/2012
C'est une crise très bizarre par Marcel Gauchet
C'est une crise très bizarre par Marcel Gauchet
Le cercle aime bien Marcel Gauchet rédacteur en chef de la revue Le Débat et nous avons déjà publié certaines de ses interventions
L'affaire Bettencourt réactive le contentieux entre le peuple et les élites
par Marcel Gauchet Le Monde cliquer
Pour nous, ses propos actuel vont bien au delà de l’écume de l’information pour se fonder sur le socle de la réalité
En continuant de refuser de rentrer dans le jeu de la politique politicienne, nous diffusons son analyse publiée dans le Monde uniquement parce qu’elle apporte un éclairage nouveau et prospectif
C'est une crise très bizarre. Elle est à la fois d'une gravité exceptionnelle, mais sans le caractère dramatique de celle des années 1930. Le niveau de richesse et de protection que l'on connaît aujourd'hui dans nos sociétés permet d'éviter une casse sociale cataclysmique. Du coup, l'ampleur de la crise n'est pas vraiment perçue par la population.
D'une certaine façon, cela arrange les responsables politiques car ils craignent par-dessus tout une dramatisation qui pourrait déclencher des mouvements passionnels peu contrôlables. En même temps, les Français voient bien que la crise dure depuis quatre ans, que, loin de se résorber, elle s'approfondit et qu'elle n'est pas qu'un simple mauvais moment à passer. Ils n'en voient pas la sortie. De ce brouillard résulte une anxiété collective dont la crainte du chômage et du déclassement est le symptôme le plus manifeste et qui finit inévitablement par percer dans la sphère politique. Pas sous une forme agressive, mais sous la forme d'une énorme atte nte à l'égard du politique.
Une attente en réalité ambiguë. La gesticulation de Nicolas Sarkozy ne convainquait personne. Mais l'attentisme de François Hollande est d'une certaine manière pire parce qu'il n'est pas en phase avec cette anxiété. C'est le phénomène fondamental de cette rentrée
Marcel Gauchet Hollande sait faire mais n'a pas de cap_.pdf
quelques extraits
12:50 Publié dans GOUVERNANCE, JUSTICE et LIBERTES, L'avocat:un chevalier du droit | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
15/08/2012
la Discipline des avocats et le conseil constitutionnel
la Discipline des avocats et le conseil constitutionnel
durée 124mn
« Et l’œil du Bâtonnier n’est point celui du cyclope,
qui ne s’ouvrait que pour choisir ses victimes »??"
repris de Servan 1767 (cliquer)
Communiqué de presse du 29 septembre 2011- 2011-171/178 QPC
En validant nos règles de fixation d’honoraires, le conseil a confirmé le principe d’indépendance des barreaux
le Conseil constitutionnel a rappelé que la détermination des règles de déontologie, de la procédure et des sanctions disciplinaires applicables à une profession relève de la compétence règlementaire dès lors que ne sont mis en cause aucune règle ni aucun principe de niveau législatif
Communiqué de presse du 29 septembre 2011 2011-179 QPC
En validant les règles d’organisation disciplinaire spécifique à Paris, le conseil a tenu compte de la situation particulière de ce barreau qui, au regard du nombre d'avocats qui y sont inscrits, n'est pas autant exposé à un risque de proximité entre l'organe disciplinaire et ses justiciables que les autres barreaux
Attention la lecture politique de cette décision devrait être faite avec une loupe de diamantaire afin de vérifier qu'il n'y a pas des petits "crapeaux" cachés
Le CNB est intervenu pour soutenir un des ses membres
devant le conseil comme
cela est possible depuis le 21 juin?
Les interventions devant le Conseil constitutionnel
dans la procédure de QPC
La tribune de juillet sur les deux arrêts de cassation
L’œil du Bâtonnier et le conseil constitutionnel Juillet 2011
18:19 Publié dans Conseil constitutionnel: QPC, Droit de l'Homme, GOUVERNANCE, JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
12/08/2012
De l'efficacité du glaive ????
Début aout, Mme Taubira a brisé un tabou en précisant sa position notamment sur les courtes peines de prison
La position de Mme Taubira dans libération
Les conservateurs de gauche ou de droite ont soit baissé les yeux soit crié comme des orfraies
Bien entendu. Il faut recréer une politique pénale qui, sur la base de la lutte contre la récidive, fait de la pédagogie autour de la sanction. A quoi rime-t-elle ? A quoi doit-elle aboutir ? Il faut que l’on puisse dire : «Vous avez transgressé, la société vous répond que, comme ce n’est pas normal, ça mérite ça.» Et, au terme de ce «ça», que devient la personne ? La lutte contre la récidive est une démarche, un objectif majeur de ma politique pénale. Il y a des années qu’on sait que la prison, sur les courtes peines, génère de la récidive, c’est presque mécanique. Je le dis, il faut arrêter ! Ça désocialise, ça coûte cher et ça fait de nouvelles victimes. Sur les courtes peines, on utilisera donc tous les aspects du code pénal. Et ce n’est pas pour autant une transgression, ce n’est pas faire en dehors du droit.
Une réponse très opposée d’un syndicat de police
Xavier Lameyre vice-président chargé de d'application des peines au tribunal de grande instance de Paris, a posée la question dans le journal Le Monde et ce dans des termes sociologiques et budgétaires que nous diffusons pour notre réflexion collective mais sans prise de position politicienne de notre part
"La prison est toujours l'école du crime"
Propos recueillis par Franck Johannes du MONDE HTLM
Xavier Lameyre, 56 ans, vice-président chargé de d'application des peines au tribunal de grande instance de Paris, enseigne la criminologie et la pénologie à l'université Paris-II depuis douze ans. Il est l'auteur de l'ouvrage Le Glaive sans la balance (Grasset, 224 p., 17 euros), un petit livre incontestable qui rassemble toutes les données chiffrées de la politique pénale du dernier quinquennat et s'inquiète de sa "démesure pénale". Il clôt sa réflexion en citant Corneille : "Votre sévérité sans produire aucun fruit / Seigneur, jusqu'à présent a fait beaucoup de bruit."
21:05 Publié dans JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
05/08/2012
Modulation des sanctions fiscales : un combat démocratique en cours
Modulation des sanctions fiscales :
un combat démocratique en cours
Pour lire et imprimer la tribune cliquer
Modulation des sanctions fiscales
Le conseil d’état, le conseil constitutionnel et la CEDH mais pas la cour de cassation ont jugé que les sanctions fiscales-souvent très lourdes - décidées par l’administration étaient conformes à une société démocratique alors même que le juge n’avait pas la possibilité de les moduler suivant le comportement personnel du contribuable
Ce n’est pas notre avis :
Cette position n’est pas compatible avec notre démocratie et ce même des raisons budgétaires et chronophages,
Si nous laissons faire , cette nouvelle pensée octopale va s'étendre à un plus grand nombre de sanctions et ce pour des raisons budgétaires
Est il logique de laisser à une administration le soin de décider à la fois de la sanction – de plus en plus lourde – et des remises dites gracieuses et cela dans la plus grande des discrétions sans qu’un juge indépendant, gardien naturel du curseur des libertés aux cotés des avocats -n’ait une opinion à donner
Est il logique de laisser à une administration le soin de décider à la fois de la sanction – de plus en plus lourde – et des remises dites gracieuses et cela dans la plus grande des discrétions sans qu’un juge indépendant, gardien naturel du curseur des libertés n’ait une opinion à donner
Quels sont les lecteurs de ce blog qui pourraient admettre une telle position sauf la petite poignée de nos bœufs tigres, les scribes de l’intolérance
La tribune prémonitoire de 23 septembre 2007
De la modulation des sanctions fiscales et administratives par o Fouquet
Modulation des pénalités fiscales : le Conseil d'Etat persiste et signe. Par Julie Burguburu,
le dernier exemple
La pénalité de 50 % des sommes non déclarées sur l'IFU ou la DAS 2 est conforme à la Constitution
L'article 1736, I-1 du CGI qui sanctionne les tiers déclarants omettant de déclarer des paiements de revenus de capitaux mobiliers, et de commissions, courtages et honoraires poursuit un but de lutte contre la fraude fiscale et le taux de 50 % n'est pas disproportionné
Cons. const. 20 juillet 2012 n° 2012-267 QPC
Note du Cercle du Barreau :autant le conseil constitutionnel est très protecteur des principes de la liberté individuelle, autant il est trop restrictif au niveau des sanctions pécuniaires.La vraie question est pour nous d'abord une question de principe : dans un certain nombre de situations, le contribuable n'est pas forcément de mauvaise foi frauduleuse ET un juge indépendant de la modulation devra être trouvé sans tomber dans l'organisation d'une précédure budgétivore et chronophage.
la jurisprudence de la cedh en 2004
L 'Arrêt cedh Silvester's Horeca du 4 mars 2004
"Le fait pour une juridiction de se déclarer incompétente pour apprécier l ‘opportunité ou accorder une remise complète ou partielle d’une amende fiscale est une violation de l’article 6§1 de la convention car la contribuable n’a pas eu la possibilité de soumettre la décision prise à son encontre à un contrôle de pleine juridiction"
Nous proposons des réflexions constructives
La jurisprudence traditionnelle et protectrice de la cour de cassation
La décision du conseil constitutionnel du 17 mars 2011
La décision de la Cour des Droits de l’Homme du 4 mars 2004
Le revirement de la Cour des Droits de l’Homme du 7 juin 2012
L’arrêt du conseil d état du 27 juillet 2012
Des propositions d’action de protection de nos concitoyens
1er saisir les juridictions judiciaires
2ème saisir l’administration de procédure gracieuse
3eme informer le comite du contentieux fiscal
les conditions d'exercice de la juridiction gracieuse
domaine de la juridiction gracieuse
introduction des demandes
objet des demandes
13:05 Publié dans CEDH, JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
29/07/2012
une mort digne est elle un droit ??
Le cercle blogue la question de société, ultra sensible, sur le droit ou sur le non droit de mourir dignement
Le 29 avril 2012 La Cour européenne avait interdit la mort digne à Diane Pretty
Le 29 juillet dernier la cedh condamne l’Allemagne sur le refus d’autoriser une femme paralysée à se procurer une dose létale de médicaments : lesjuridictions allemandes auraient dû examiner l’action engagée par le veuf
Dans son arrêt de chambre, non définitif1, rendu ce jour dans l’affaire
Koch c. Allemagne (requête no 497/09), la Cour européenne des droits de l’homme dit, à l’unanimité, qu’il y a eu : Violation de l’article 8 (droit au respect de la vie privée et familiale) de la Convention européenne des droits de l’homme, en raison du refus des juridictions allemandes d’examiner au fond l’action engagée par le requérant.
13:10 Publié dans CEDH, Europe et Justice, JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : une mort digne est elle un droit ?? | Facebook | | | | Imprimer | |
10/06/2012
Le contentieux du recouvrement est il compatible avrc la convention EDH
La réglementation des procédures d’exécution a été totalement modifiée et
est entrée en vigueur le 1er juin 2012-
Code des procédures civiles d'exécution
L’article R 121-4 du CPCE dispose :
Les règles de compétence prévues au présent code sont d'ordre public.
Note de P Michaud : nous sommes déjà nombreux à nous demander si un décret peut définit une obligation d’ordre public
par ailleurs , les textes autorisent un huissier à entrer dans le domicile d'un débiteur sans autorisation
Le contentieux de l’exécution est le juge de l’exécution ; cliquer
Attention en matière fiscale : double compétence article L281 LPF
Ce code est applicable en matière fiscale
1. Sous réserve des dispositions de l'article L. 260, les poursuites prévues au 2 des articles L. 257-0 A et L. 257-0 B sont effectuées dans les formes prévues par le code de procédure civile pour le recouvrement des créances.
L’Article R122-2 du CPCE créé par Décret n°2012-783 du 30 mai 2012 précise les agents compétents en cette matière
Outre les huissiers de justice, les personnes chargées des mesures d'exécution forcée et des mesures conservatoires nécessaires au recouvrement des créances de l'Etat, des collectivités territoriales et des établissements publics dotés d'un comptable public sont les agents de la direction générale des finances publiques chargés de procéder aux poursuites nécessaires au recouvrement des créances publiques dans les conditions prévues par l'article L. 258 A du livre des procédures fiscales.
19:13 Publié dans JUSTICE et LIBERTES, Le curseur des libertés | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
01/03/2012
Cassin et Monnet revenez
Cette tribune est provocatrice de réflexions pour nous avocats et magistrats,
ces gardiens du curseur des libertés
Les tribunes sur le curseur des libertés
Les désastres du 11 septembre
Chacun de nous nous avons gravé en mémoires individuelles et collectives les hommes et les femmes qui ont été assassinés le 11 septembre 2001.
Cette date a été aussi un assassinat des nombreuses libertés individuelles.
Alors que la "catastophique" Shoah שואה, a été le déclencheur d'un renouveau des Libertés
Ou sont donc les Cassin et les Monnet de 2011 ?
Qui est René Cassin Qui est Jean Monnet
Déclaration universelle des droits de l'Homme
Le cercle du barreau propose aux avocats et aux magistrats qui sont les vrais gardiens du curseur des libertés quelques thèmes de réflexion
Certaines libertés ont aussi disparu le 11 Septembre 2001
La France, championne d'Europe de la surveillance des télécommunications
En 2009, la France a procédé à 514 813 demandes d’accès aux "logs", également nommées "données de trafic", ou "données de connexion" (qui a téléphoné ou envoyé un mail à qui, quand, d’où, pendant combien de temps ?) conservées par les opérateurs de téléphonie fixe ou mobile, et les fournisseurs d’accès à l’internet.
Le Royaume-Uni arrive en seconde position, avec 470 222 demandes d’accès, loin devant la Lituanie (85 315), les Pays-Bas (85 000) ou encore l’Espagne (53 578), l’Allemagne n’en dénombrant de son côté “que” 12 684 (pour 81,5 millions d’habitants). Comme le soulignait Le Canard enchaîné, "en bonne logique, le territoire de nos voisins allemands devrait être livré à la terreur et à la dévastation...
Ces chiffres figurent en annexe d'un rapport de la Commission européenne sur la conservation des données, qui a pour objet de préparer une révision de la directive, en vue d’harmoniser la conservation des données dans l’Union afin, notamment, "de réduire au minimum le risque de violation de la vie privée et de préserver la confiance des citoyens".
Une chronologie des lois instaurant la surveillance d'internet
Le rapport de la commission sur la conservation des données
Que le Dieu du Livre nous protège
ان الله يحمينا من كتاب
12:22 Publié dans Europe et Justice, JUSTICE et LIBERTES, L'avocat:un chevalier du droit, Le curseur des libertés | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
24/01/2012
Cycle Droit et économie de l’environnement - 2011 -2012
Cycle Droit et économie de l’environnement - 2011 -2012
Manifestations validées au titre de la formation des avocats
· Cycle Droit et économie de l’environnement
Le droit pénal de l’environnement
Lundi 6 février 2012
02:14 Publié dans GOUVERNANCE, JUSTICE et LIBERTES, La justice dans la cité | Lien permanent | Commentaires (0) | Facebook | | | | Imprimer | |
21/01/2012
Un déni de justice dans la justice prudhommale
La première chambre du TGI de PARIS a condamné l'etat à indemniser les salaries victimes des délais excessifs de procédure des conseils de prud’hommes dans le cadre d’un déni de justice
Le communiqué du Syndicat des avocats de France
La définition du déni de justice
Article L141-1 du code de l’organisation judiciaire
Cour d'appel de Paris, 15 novembre 2011, 08/20814
'aux termes de l'article L. 141-1 du Code de l'organisation judiciaire, «l'Etat est tenu de réparer le fonctionnement défectueux du service de la justice» et que, «sauf dispositions particulières, cette responsabilité n'est engagée que par une faute lourde ou un déni de justice» ; qu'il s'infère de ce texte que la faute lourde est caractérisée par un fait ou une série de faits qui révèle l'incapacité du service de la justice à remplir sa mission ; que constitue un déni de justice, non seulement le refus ou le défaut de statuer, mais également l'absence de décision prise dans un délai raisonnable ou prise avec un retard qui n'est pas justifié par les circonstances particulières de l'affaire ;
La 1 ère chambre du tribunal de grande instance de Paris a condamné l’état à verser des dommages et intérêts allant de 1.500 à 8.500 €, outre une indemnité de 2.000 € pour les frais de procédure engagés, à des salariés victimes de procès prud’homaux aux délais déraisonnables :
"Il relève du devoir de l état de mettre à la disposition des juridictions les moyens nécessaires à assurer le service de la justice dans des délais raisonnables et ce délai résulte manifestement du manque de moyens alloués à la juridiction prud’homale. le déni de justice invoqué par le demandeur est caractérisé"
L’article 6-1 de la Convention Européenne de Sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés Fondamentales garantit que : « Toute personne à droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable par un tribunal indépendant et impartial», la Cour Européenne rappelant que les conflit du travail « portant sur des points qui sont d’une importance capitale pour la situation professionnelle d’une personne doivent être résolus avec une célérité particulière
21:11 Publié dans Europe et Justice, JUSTICE et LIBERTES | Lien permanent | Commentaires (1) | Facebook | | | | Imprimer | |