23/04/2009
The black hole et le stress test
Un peu de droit économique international....
The black hole et le stress test
Le discours du président Obama , ce dimanche 19 avril, est révélateur de la “difficulté “ de la résurrection du système bancaire américain.
Cette position a été relayée par le secrétaire d’état au trésor ;
« Cette crise n'est pas seulement une version plus sévère d'un cycle récessif habituel, c'est une correction abrupte des excès financiers qui ont submergé les économies et mécanismes de correction des marchés ; c'est pourquoi elle ne peut être résolue que par des mesures exceptionnelles », a souligné le secrétaire au Trésor, en insistant sur la nécessité d'une coordination au niveau global. « Le reste du monde a besoin de la reprise de l'économie et du système financier américains pour revivre. »
« Nous ne sommes peut-être pas tous dans le même bateau, mais nous sommes sûrement confrontés à la même tempête », a conclu le secrétaire au Trésor, en insistant sur la nécessité de respecter les engagements pris au G20 de Londres.
Le discours du président Obama du dimanche 19 avril
Le rapport de la FED sur la pratique du stress testing pour les us banques
(diffusion le 24 avril)
Perspectives de l'économie mondiale
Rapport sur la stabilité financière dans le monde
La facture de la crise financière calculée par le FMI
à plus de 4.000 milliards de dollars Les Echos
IMF Says Losses From Crisis May Hit $4.1 Trillion ( Bloomberg)
Le rapport OFCE Monde et France
Bilan des « stress tests » menés sur le système bancaire français ‘en 2004)
REDIFFUSION Storms on the Horizon by Richard W. Fisher
Mr Fischer is the Dallas FED chief
04:56 Publié dans La fonction d'avocat | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : justice, economie, politique, france | Facebook | | | | Imprimer | |
23/01/2008
"LA PLANETE FINANCE DANSE SUR UN FIL" par Michel Cicurel
blog déjà publié le 3 février 2007 et le 03 MARS 2007
MATCH POINT
la suite est dans LE FIGARO Economie du 17 mars
je reprends la position interpellante de Michel CICUREL ,banquier
"Mais, à court terme, il me semble que la fragilité des pronostics est extrême."
Note du 6 aout 2008
Point de vue publié dans La Tribune du 30/01/07
LA PURGE LE TEMPS 11.08.07La correction "vue "par des "sratèges"
Une confortable majorité de prévisionnistes prévoient pour 2007 une nouvelle progression de l'économie mondiale et des marchés d'actions, avec de très bonnes raisons. L'atterrissage de la production américaine s'effectue en douceur. L'Europe, tirée par une Allemagne revigorée, retrouve le chemin de la croissance. Quant aux changes, ils évoluent dans le plus grand calme. L'inflation est sous contrôle, et les taux d'intérêt à long terme demeurent exceptionnellement sages. Certes, les Bourses ont plus que doublé depuis le creux du printemps 2003, mais la hausse des cours n'a fait que refléter celle des bénéfices des entreprises, en pleine santé. Et du coup, le prix des actions demeure à son bas niveau de la sévère crise boursière du début du millénaire. Les liquidités, très abondantes, ne s'investiront massivement ni dans les obligations, dont le rendement est trop faible, ni dans l'immobilier, en haut de cycle, et n'ont d'autre choix que les actions qui n'ont pas encore connu d'engouement spéculatif. Tout irait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes financiers. Et pourtant, c'est au moment où l'aversion au risque semble s'atténuer chez les investisseurs qu'une multiplicité de menaces pèse sur notre avenir immédiat.
Oublions un moment les facteurs de risques politiques majeurs, comme l'enlisement de la puissance américaine, puisque nos marchés financiers ont choisi de les oublier. Il reste que l'économie et la finance mondiales se propulsent à très grande vitesse dans un décor parfaitement inédit où la prospective ne trouve plus aucun repère dans le passé.
19:13 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : france, finances, cicurel, politique, economie, europe | Facebook | | | | Imprimer | |
07/07/2007
LE PIB FAIT IL LE BONHEUR?
Non,nous en sommes pas en juin 1968 mais bien en juin 2007.
Cette question a été posée par Enrico Giovannini qui est le très sérieux chef statisticien de l'OCDE, qui a organisé - avec la Commission européenne, la Banque mondiale, le PNUD et la Conférence islamique - un forum où 1 200 spécialistes se sont penchés sur la façon de mesurer le progrès des sociétés.
Comment mesurer et favoriser le progrès des sociétés".
Le forum d'Istanbul a donné lieu à un débat approfondi sur les mesures du progrès ainsi que sur certaines des principales préoccupations du monde d'aujourd’hui comme le changement climatique, la santé et la mondialisation.
09:20 Publié dans La fonction d'avocat | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : france, économie, politique, cnb, saf, uja, cosal | Facebook | | | | Imprimer | |