15/06/2014
régularisation fiscale :une réforme des pénalites ...
Les pouvoirs publics veulent ils rétablir un climat de confiance entre l’état et les citoyens, climat qui avait été suspendu en février 2012 par une mère fouettarde
La DGFIP a publié avec une grande discrétion un communiqué daté mai 2014 qui prévoit la mise en place de nouvelles dispositions pour améliorer les relations avec les contribuables notamment en généralisant la procédure de la régularisation fiscale avec les entreprises et souhaitons le pour les écureuils cachotiers nationaux en élargissant le champ d'application de l'article L 62 du LPF
Note de P MICHAUD Bruno Parent le nouveau patron de la DGFIP aura la mission de mettre en place ce plan de bon sens économique mais attention à nos KHMERS , ces disciples de Procuste.
Le communiqué
Un contrôle citoyen avec les entreprises
Les procédures actuelles de régularisations des entreprises sont plus favorables que pour les particuliers cliquer lire page 4
Les mesures qui seront proposées au parlement portent sur cinq axes :
1. Mettre en place une politique de prévention fiscale ;
2. Améliorer la sécurité juridique des entreprises vérifiées ;
3. Assurer une relation franche et efficace avec l’entreprise ;
4. Encourager les régularisations avant ou pendant le contrôle ;
Avant un contrôle, les entreprises pourront régulariser leur situation si celle-ci n’est pas conforme aux analyses publiées par l’administration fiscale sur certains montages Désormais, l’administration fiscale publiera une analyse sur certains montages qu’elle considère abusifs. Lors de ces diffusions, il sera précisé que les entreprises pourront choisir de régulariser spontanément leur situation dans des conditions qui seront à préciser. Pendant le contrôle, les entreprises bénéficieront d’un dispositif de régularisation amélioré Les entreprises peuvent, en cours de contrôle, choisir de régulariser les erreurs commises de bonne foi moyennant le paiement des droits et d’un intérêt de retard égal à 70% de l’intérêt de retard, comme le prévoit l’article L.62 du LPF. Cette possibilité de régularisation ne peut pas être utilisée pour les entreprises qui ne peuvent pas acquitter immédiatement les rappels, souvent faute de trésorerie. Or, il est dans l’intérêt de l’État de percevoir le plus vite possible les impôts éludés et d’éviter des contentieux inutiles.
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5. Mettre en place un dispositif de pénalités et d’amendes mieux proportionné à l’erreur commise.
Les pénalités et amendes ont pour but de dissuader les entreprises de déroger aux règles fiscales. Elles doivent donc être substantielles. Mais elles peuvent aujourd’hui, dans certains cas, atteindre des montants disproportionnés au regard de l’infraction commise. A l’inverse, elles sont parfois insuffisamment dissuasives. Par suite, il sera proposé au Parlement de réviser le dispositif d’amendes et de pénalités afin de les rendre mieux proportionnées à l’erreur commise. |
Ce communiqué ne vise que les entreprises mais il sera politiquement nécessaire que ces règles soient adaptées à nos écureuils cachotiers nationaux
Les pouvoirs publics doivent inciter au retour de l’épargne cachée dans l’économie ece qui est nécessaire pour notre développement économique nationale
De même une énorme différence de traitement existe entre les solutions du service de la DNVSF qui traitent nos écureuils cachottiers et certaines brigades des services externes qui appliquent les mesures de février 2012
Une inégalité de traitement apparaît donc et va certainement développer un contentieux fort inutile il ne peut avoir deux catégories de contrôle fiscale pour des situations similaires
si la lutte contre la fraude est une priorité du Gouvernement et de la DGFiP, le contrôle fiscal ne doit pas pour autant se traduire par des contraintes disproportionnées pour les entreprises qui cherchent à acquitter correctement leurs impôts.
A la suite de différents rapports de la cour des compte nos pouvoirs publics sont conscients du cout administratif et financier du contrôle fiscal externe et des contentieux longs chers pour la collectivité et le contribuable et souvent inutile
Par ailleurs contrairement à ma politique mère fouettarde lancée en février 2012, -qui pensait gagner les élections en foutant la trouille aux écureuils-, le gap fiscal de la France est causée d’abord par la fraude à la TVA notamment européenne et par des montages dit d’optimisation fiscale soit erronés soit fraudgénes
Une nouvelle méthode de contrôle fiscal est en cours de réflexion : avec le contrôle fiscal externe, le contrôle fiscal sur dossier, en interne, se met en place un contrôle fiscal volontaire dit ,pour l’instant citoyen
L’intérêt de ce système est d’abord sa rentabilité financière tant pour le budget que pour les contribuables
Ce communiqué ne vise que les entreprises mais il sera politiquement nécessaire que ces règles soient adaptées à nos écureuils cachottiers nationaux
Les pouvoirs publics doivent inciter au retour de l’épargne cachée dans l’économie est nécessaire pour notre développement économique nationale
De même une énorme différence de traitement existe entre les solutions dsu service de la DNVSF qui traitent nos écureuils cachottiers et les brigades des services externes qui appliquent les mesures de février 2012
Une inégalité de traitement apparait donc et va certainement développer un contentieux fort inutile ;il ne peut avoir deux catégories de contrôle fiscale pour des situations similaires
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